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“Un cafard dans la soupe politique” Par Me Diaraf Sow

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Pendant que le Sénégal entier est uni comme un seul homme, pouvoir comme opposition, tous solidaires derrière le Président de la République, voilà le cafard, qui se mesure au Chef de l’État, sorti tout nauséabonde de son trou immonde, pour prétendre tenir un discours, à la nation, au même titre que le Président de la République.

PRÉSIDENT FONDATEUR AUTOPROCLAMÉ

Égo surdimensionné, “son Excellence LE CAFARD” dépourvu de toute moralité et de tout sens républicain, en carence du plus petit molécule d’homme d’État, tient son “discours à la nation” khour dab à chaque fois que le Président de la République, Chef de l’État du Sénégal, son Excellence Macky Sall, s’adresse aux sénégalais.
Sache que tu es un simple “dépité” choisi au plus fort reste.
Khana sakh, tu dois donner au deuxième Idrissa Seck, l’honneur de parler à la nation par respect à la hiérarchie, au choix du peuple sénégalais et à la volonté de Dieu ?

Ana ap troisième noumouy djitô ap deuxième ?

source: senegal7

6 Commentaires

  1. Ce qui est extraordinaire dans ce pays, c’est que le moindre énergumène peut se pavaner dans les médias notamment les réseaux sociaux et dire n’importe quoi. Je ne connais pas les relations entre Macky Sall et Ousmane Sonko. Mais je suis sûr qu’au fond de lui Macky Sall sait que Sonko lui rend plus service que tous ces minables qui l’entourent. Le discours de Sonko, qu’on l’aime ou pas, qu’on l’écoute ou pas (beaucoup commentent ses propos avec les « on dit » sans jamais l’entendre directement) a toujours été juste : dénoncer la corruption, la mal gouvernance, le gaspillage, le pillage de nos ressources, les surfacturation, etc.
    Sur le coronavirus, il n’y a rien à ajouter sur le discours de Sonko. Il a dit les choses de manière juste et équilibrée. Il faut être honnête pour le reconnaître. Dans quel pays sommes nous au point de compter autant de gens de mauvaise foi ? Pourquoi la critique crispe certains au lieu de les aider à avancer? Les critiques de Sonko sont justifiées et justes. Oui il faut tirer les leçons de cette crise, comme on n’a pas su le faire lorsque ebola avait traumatisé plus d’un. A t-on pris les devants après ebola, pour parer à toute éventualité ? De toute évidence non ? En démocratie, la critique permet de rectifier, d’avancer. Mais au Sénégal on le comprend autrement, car on est sous développé intellectuellement. Demandez ce que l’absence de critique a coûté à la France entre 1933 et 1939, voire même après ? Une défaite cinglante, alors que des gens avaient alerté. Mais non, il ne fallait pas contredire des généraux et des politiques chevronnés. Demandez au Mali ce que l’absence de critique a occasionné face aux décision de Amadou Toumany Touré ? Au Sénégal, on a su éviter au Président Macky Sall une déconvenue en critiquant sévèrement sa décision d’envoyer 2100 soldats combattre au Yémen. Qui a dans ce cas précis rendu service au Sénégal et au Président ? Certainement pas ceux qui fustigeaient les critiques contre le Chef de l’Etat. Le Président peut se tromper, il faut le laisser s’enfoncer dans l’erreur ? Mais non ! soyons sérieux ! Ecoutez bien le discours de Sonko sans passion, sans haine. Vous verrez bien que c’est bien ce dont on a plus besoin en ce moment. Critiquer certes les mauvaises décisions et prévenir, mais aussi, encourager les citoyens à bien se comporter. Quoi de plus juste ! Quoi de plus nécessaire ! Mais il y aura toujours des déchets pour fustiger parce que c’est Sonko. Moi je dirai qu’il y a une alliance objective entre l’Etat (pour ne pas dire Macky Sall) et Sonko. Ce dernier pointe du doigt ce qui ne va pas, l’autre peut rectifier en se basant dessus. D’ailleurs sur la question de l’interdiction pour les passagers de certains pays très touchés par le coronavirus (après tout, tout les cas du Sénégal -le gars de Touba qui a contaminé ses proches compris- descendent de l’aéroport qu’on nous disait blindé), si la situation devient plus alarmante, c’est à cela que le Sénégal devrait aboutir. La décision de l’Etat sera facilitée car, avant, il y a eu des gens dans le monde politique (Sonko en particulier), pour lui suggérer cette décision certes difficile, mais nécessaire dans le contexte actuel.
    Merci à Sonko pour le travail difficile dans ce pays où les esprits tordus se montrent plus en avant que les esprits éclairés.

  2. Si Sonko est un cafard,l’auteur de cet article peu courageux est un lézard qui pourfende les fissures de l’ignorance.
    Le bêtisier donneur de leçons s’émeut de la contradiction apportée à MACVIRUS3M24 LE NOM SCIENTIFIQUE DE SON MAÎTRE

  3.  » je suis l’opposant le plus diabolisé » Ousmane Sonko dixit. Le président Macky Sall s’adresse aux sénégalais, Ousmane Sonko s’adresse aux sénégalais, y’a quel problème.? A la mosquée, quand l’imam a parle, un fidèle même mal fagoté a bien le droit de demander la parole et s’exprimer. Ousmane Sonko a-t-il contredit son Excellence? S’insurge-t-on contre ses paroles ou parce qu’il a parlé ? De toute façon l’intéressé n’est nullement ébranlé, il en a entendu pire.

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