Quelque 39 personnes qui auraient participé à des mariages de complaisance pour pouvoir rester au Canada ou pour faire un coup d’argent devront plutôt faire face à la justice canadienne.
Ces gens -des hommes et des femmes- font face à 78 chefs d’accusations, notamment pour fausses présentations et mariages feints. Ils ont été officiellement accusés le 1er août, mais ils comparaîtront pour la première fois le 16 octobre au palais de justice de Montréal.
Il s’agit du dernier volet du projet d’enquête «conjugal» amorcé par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) en 2009. Le projet visait à faire la lumière sur des centaines de mariages dont la légitimité semblait suspecte.
En octobre 2011, les policiers ont arrêté Amadou Niang, soupçonné d’être la tête dirigeante du système. L’homme de 56 ans, qui se présentait faussement comme un consultant en immigration, aurait organisé pas moins de 315 mariages impliquant 630 personnes. La GRC n’a pas précisé combien de mariages ont été réellement célébrés.
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Selon la Couronne, des immigrants – en grande majorité des hommes originaires d’Afrique du Nord- approchaient Amadou Niang dans l’espoir de pouvoir s’installer définitivement au Canada. «C’était souvent des étudiants dont le statut au Canada tirait à sa fin», a expliqué l’un des procureurs au dossier, Ninette Singoye. Quelques-uns auraient fait ces démarches de l’étranger.
La GRC soutient qu’Amadou Niang recrutait ensuite des Canadiennes – dont plusieurs originaires d’Haïti – prêtes à se marier en échange d’une somme d’argent. De nombreux mariages ont été «célébrés» entre 2007 et 2009 dans une seule et même mosquée de la région montréalaise. «C’était des gens qui ne se connaissaient pas et qui savaient qu’ils n’habiteraient pas ensemble», a précisé Erique Gasse, porte-parole de la GRC.
Le gendarme Gasse tenait à lancer un message de prévention aux gens qui voudraient participer à des mariages de complaisance. «Si on vous offre de l’argent pour faire venir quelqu’un au Canada et qu’on vous dit que vous ne serez pas responsable de lui, ce n’est pas vrai, a-t-il dit. Quand on fait une fausse déclaration, on doit y répondre devant la loi.»
Amadou Niang, qui fait face à 42 chefs d’accusation, était de retour au palais de justice de Montréal, mardi matin, pour fixer la date de son procès. Le citoyen canadien d’origine sénégalaise se faisait discret dans le couloir du palais de justice, vêtu d’un complet gris foncé. Il sera de retour devant le juge le 23 octobre.
Son avocat, Pierre Joyal, a dit au juge que les discussions entre la défense et le ministère public étaient «bien avancées pour trouver un règlement». Amadou Niang, qui a d’abord plaidé non-coupable, pourrait plaider coupable à des accusations réduites.
L’enquête de la GRC se poursuit. D’autres personnes pourraient être accusées.
La presse via allodakar.com
Un faux conseiller en immigration accusé
Un faux conseiller en immigration qui aurait floué des dizaines de Nord-Africains tentant d’immigrer au Canada, en leur organisant à fort coût de faux mariages, devra faire face à la justice. Amadou Niang, un citoyen canadien originaire du Sénégal âgé de 55 ans, a vu le 30 janvier dernier 26 accusations être déposées pour lui, notamment de fausses présentations en vertu de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés. Cela s’ajoute à 16 autres accusations déposées contre lui en 2011 relativement au même type d’infraction. Cette mise en accusation découle d’une longue enquête menée par la GRC depuis 2009. Le projet d’enquête baptisé conjugal visait à faire la lumière sur des centaines de mariage à la légitimité suspecte. Rapidement, Niang et un groupe de présumés complices ont été ciblés. L’homme se présentant comme un consultant en immigration, alors qu’il n’est pas inscrit au tableau de la Société canadienne de consultants en immigration aurait, grâce à son réseau de contacts et à des complices, organisé 315 mariages, impliquant donc 630 personnes. La GRC ne mentionne pas combien de ces mariages ont réellement eu lieu. Par contre, on sait que les immigrants approchaient Niang, qui recrutait ensuite des Canadiens prêts à accepter, moyennant rétribution, de se marier avec les demandeurs de résidence canadienne. Ces Canadiens étaient, eux, d’origines diverses. C’est l’appât du gain qui aurait motivé leur participation à ce stratagème. «Il s’agissait de faux mariages civils en ce sens qu’ils impliquaient des gens qui ne se connaissaient pas, et qu’ils semblaient avoir été arrangés. Mais ils avaient l’air vrais aux yeux, par exemple, d’une personne qui serait passée par là par hasard. Et les mariages étaient reconnus par le Directeur de l’état civil», précise la caporale Caroline Letang, de la GRC. «Plusieurs de ces gens ignoraient que de participer à un faux mariage est illégal en vertu de la loi. Ces gens pourraient maintenant être accusés. Nous avons arrêté un cinquantaine de personnes en cours d’enquête pour les interroger», explique la caporale Letang. Elle précise que si pour le moment Niang est le seul accusé dans cette affaire, de nombreuses autres personnes pourraient l’être, puisque le dossier a été soumis aux procureurs du Service des poursuites pénales du Canada. Les Canadiens ayant participé aux faux mariages, ainsi que les immigrants qui croyaient faciliter leur immigration au pays, pourraient être parmi les accusés. Ces derniers se retrouvent vraiment dans le rôle du dindon de la farce, puisqu’ils ont dépensé de fortes sommes, parfois des milliers de dollars, qui auraient profité aux mariés canadiens mais surtout à Amadou Niang. Et ils pourraient maintenant faire face à la justice et voir leurs chances de devenir citoyens canadiens réduites à néant. «Nous invitons le public à la vigilance s’ils se voyaient faire des offres similaires en échange d’une rétribution», conclut la caporale Letang. S’il était trouvé coupable, Niang pourrait être passible d’un maximum de cinq ans de prison, et d’une amende de 50 000 $. Il possède un antécédent judiciaire de fraude remontant à 1991, dans la région de Rimouski.
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