Les fidèles musulmans continuaient dimanche d’affluer vers la cité religieuse de Tivaoune (région de Thiès), où ils doivent participer au Maouloud, évènement religieux commémorant dans la nuit du lundi à mardi la naissance du Prophète Mohammed (PSL), a constaté un reporter de l’APS.
Les pèlerins, comme chaque année, arrivent à Tivaouane de partout.
Par la route (les véhicules), les rails (les train), des calèches, et à pied même, comme chaque année, ils arrivent de partout, vêtus dans leur grande majorité de tenues traditionnelles décents. Les femmes notamment se présentent le corps bien couvert comme le veut la tradition.
Dans la cité religieuse de Tivaouane la circulation est devenue difficile; bien que des éléments des forces de sécurité se soient déployés en grand nombre pour faire appliquer le plan de circulation.
Ainsi, sur certains axes les déplacements des véhicules sont strictement réglementés par le comité d’organisation et les agents affectés à la sécurité, d’une part; de l’autre, les calèches sont formellement interdites sur les voies goudronnées.
Du coup, elles se rabattent donc sur les voies latéritiques et poussiéreuses, en provoquant des bouchons.
Dans cette atmosphère de grande affluence, les commerçants tentent d’écouler le maximum de leurs marchandises, transformant ainsi, et petit à petit, la cité religieuse en une gigantesque foire « à ciel ouvert ».
Ils proposent différents articles allant des chapelets, bijoux, chaussures, nattes à plusieurs sortes de fruits.
Si autant de méthodes: Haut-parleurs, affichages, vente à la criée sont utilisées pour attirer la clientèle; la musique demeure elle interdite aux alentours des mausolées pris d’assaut par les fidèles.
Les pèlerins attendent des minutes pour accéder à cet endroit prisé pour formuler des prières et se recueillir sur les tombes d’El Hadj Malick Sy et de ses descendants. Le chassé-croisé de fidèles va ainsi se poursuivre jusqu’à lundi au niveau des mausolées.
Pour parer à toute éventualité, la grande affluence étant prévisible, les autorités sanitaires ont mis en place un énorme dispositif médical et de protection civile au profit des fidèles.
HOPITAL BASS NDAO
DES INJUSTICES REPETEES. LE PERSONNEL DE L’ADMINISTRATION NE PART PAS A LA RETRAITE A DATE ECHUE. LE CHEF DU SERVICE DES RESSOURCES HUMAINES MONSIEUR AMATH THIAM né le 01/01/1954, à Nioro du Rip, est toujours maintenu par le petit directeur youssouph ndiaye hors la loi. Pour rappel il avait retenu durant six mois, avec un état de paiement de 300.000 francs, le contrôleur interne Amadou SARR de manière illégale. Dans l’administration Sénégalaise actuelle, il n’existe pas de prolongation, tout agent doit partir à la date d’anniversaire de sa naissance.
HOPITAL ABASS NDAO
Nous interpellons Monsieur le Vérificateur Général du Sénégal, pour un audit de la gestion de ce hôpital. Une existence de sur facturation sur tous les ordres de paiements établis par la Direction de janvier 2011 à nos jours. Pendant que les travailleurs restent dans la dignité deux mois sans salaires, cette Direction se permet de faire des dépenses non prioritaires : paiement de bourses de formation, subventions de séminaires à l’extérieur, achat de bacs à ordures qui pouvaient être confectionnés par le service de la maintenance, ect…