[Video Archive] Le candidat Moustapha NIASS demande au Président Abdoulaye WADE de diminuer le prix du carburant.

Merci xalima de nous rappeler çà. Cela montre le nafekh des gens qui nous dirigent actuellement. Au moment où il parlait de ça en 2012 le baril du pétrole était de 120 dollar actuellement le baril est à 37 dollars plus du 1/3 de 2012 alors que presque tous les prix (le gasoil, l’essence, les denrées de première nécessité, le gaz butane,) sont presque tous au niveau de 2012 l’électricité est devenu plus chère (comparez vos factures de 2012 et maintenant). Donc la question que je me pose c’est: d’où vont les bénéfices tirées de la baisse du prix du baril du pétrole? Car si l’on sait que à part le centre de abdou diouf de diamniadio il n’y a aucun investissement fait par macky sall. Tous les projet qu’il est entrain de nous citer il les a trouvé ici dont la plus part c’est le MCA pour ce qui concerne les routes au sud du pays, l’emblavement de terres dans les régions du nord pour la culture rizière etc.. Alors que du tps de wade avec le prix du baril variant entre 90 et 120 dollars plus la crise de alimentaire et la crise financière il a pu malgré tout faire des investissements (l’autoroute à péage, l’aéroport de diass, les centrales électriques kounoune1 kounoune2, C6 de bel air boukote ziguinchor , construction d’infrastructures scolaires, recrutement d’enseignants, augmentation des salaires etc…. Donc c’est en cela que j’interpelle les économistes du pays en comparant ces deux situations de nous les expliquer. Soit macky sall est incapable il ne contrôle pas l’économie du pays qui est entre les mains des français et des marocains soit il nous vole notre argent car normalement il doit y avoir de l’argent dans le pays.

Niasse n’est pas le président. Ce rappel n’a aucun sens. C’est Macky Sall qui est élu, les sénégalais n’ont qu’à assumer leur choix. Ce n’est pas le programme de l’AFP qui est appliqué au Sénégal. Les journalistes dans ce pays ne posent jamais un débat sérieux. Impertinence oblige. Le débat est ailleurs…

J’aime bien l’analyse faite sur les chantiers de Maitre Wade comparée à ceux de Macky prèsentement malgrès les énormes mensonges sur la situation catastrophique du pays et avec une complicité d’une élite dépassée.
Toute l’opposition d’alors aujourd’hui au pouvoir ; a montré ses limites.Les sénégalais regrettent fort d’avoir porté au pouvoir cette bande de crétins ; menteurs; usurpateurs ; dictateurs et corrompus à la tête du pays.Sachez qu’ici en Espagne vous ne comptez plus de sympatisants……

Ce rappel n’a aucun sens. Ce n’est pas le programme de l’AFP qui est mis en exécution, mais celui de l’APR. Les sénégalais n’ont qu’à assumer leur choix. Les journalistes n’arrivent pas à poser un débat autour des entrées thématiques qui participent à la critique objective de l’action gouvernementale et à l’éveil des consciences, à l’éducation citoyenne pour que les sénégalais puissent arriver à un niveau de conscience politique leur permettant d’opérer de bons choix. 2012 a été un tournant, l’occasion rêvée pour réaliser la fracture historique qui mettrait le Sénégal dans une situation d’irréversibilité en termes de projet de société. L’espace médiatique devrait aménager un débat d’idées entre spécialistes sur les questions d’enjeux politiques, économiques et sociétaux. L’élite intellectuelle de ce pays a besoin de cet espace de débat au lieu d’être conviée à la logique du journalisme des haut-parleurs, des faits divers et sensationnels. A la place de ce traitement de l’information qui anime la discussion de Grand-Place, il faut un traitement scientifique des véritables problèmes de société auxquels le Sénégal se trouve confronté aujourd’hui.
Le débat est ailleurs, au dessus et au-delà des individualités politiques, en dépit de leur posture dans le champ des pouvoirs. Sans l’articulation entre la logique des structures/ conjonctures et celle des acteurs dans leurs différents statuts, aucun traitement sérieux de l’information ne pourrait se réaliser. « Le wax sa khalate » a pris le dessus sur les thématiques qui exigent l’expertise et la responsabilité dans la formulation des points vue. Le journalisme est resté dans la matrice des faits divers qui peuplent le quotidien et qui brise le rêve des grandes ambitions. Impertinence oblige… Le débat est ailleurs… si l’on se situe dans la problématique de l’impact de la baisse du baril de pétrole sur le quotidien des sénégalais.

CES pourritiques ont affirmè Tous qu’ils gouvernent emsemble… le ridicule en tue pas
A Xalima vous faites un excellent travail ; du courage et bonne année 2016 à vous tous..

Aujourd’hui 80% du prix du pétrole va au trésor public

Aujourd’hui 75% du prix du pétrole va au trésor public

Il faut se situer dans les enjeux du débat. On n’est pas formaté par notre éducation pour insulter. Le débat est ailleurs, loin du topos de l’injure. Les journalistes doivent contribuer à faire taire ceux qui n’ont d’idées pour convaincre, en posant les vrais débats.