Qui savait qu’il y avait autant de centenaires au Sénégal ? L’humanité choisit de manière presque officielle le Doyen et la Doyenne de l’Humanité qui sont fêtés, adulés, filmés par toutes les chaînes de télévision du monde entier. LES actuels SUPPOSES DOYENS ET DOYENNE DE L’HUMANITE sont deux japonais âgés respectivement de 113 et 114 ans. Pour l’occident, les nègres d’Afrique quel que soit leur âge, ne peuvent faire partie de cette sélection, et le pire, c’est qu’ils ont réussi à nous le faire accepter sans broncher! Combien de médias d’Afrique noire nous ont parlé de madame Calman qui fut très longtemps une « supposée » Doyenne de l’humanité ? Nos journalistes, eux-mêmes, s’intéressent aux Doyens de l’humanité que nous ont imposés le reste du monde raciste, qui ne nous considère même pas dans ce domaine ! C’est à nous de faire le blackout sur cette élection de Doyen et Doyenne de l’humanité. Cette exclusion des Africains du choix du Doyen et de la Doyenne de l’humanité n’est du tout anodin, quand on veut bien y réfléchir, on se rend compte que pour l’occident, les nègres d’Afrique mangent mal, sont infectés de maladie, sont misérable, par conséquent, ils ne peuvent avoir des centenaires, pire, ils n’ont pas d’état civil fiable ! Quel mépris ! J’ai fait remarquer, par écrit, à l’actuel Ministre de la Culture du Sénégal, le seul à oser dire les choses avec une très grande franchise, pour lui signaler que le Doyen de l’humanité est bien Sénégalais du nom de Baye Sy, propriétaire de la maison appelée la « Maison sans retour » par les mauvaises langues. Ce vieux Sénégalais qui a construit la maison la plus originale du Sénégal a aujourd’hui 117 ans comme Mame Gorgui Khar Diouf que je trouve admirable! Imaginez, si notre Gouvernement avait fait les démarche pour faire reconnaître à la commission mondiale chargée de la désignation des doyens et doyennes de l’humanité nos deux vaillant centenaires, ce que nous pourrions en récolter en terme d’image ! Le Sénégal pourrait être le centre du monde chaque année, lors de la traditionnelle présentation des vœux de bonne année faite au Doyen et à la doyenne de l’humanité. Plus que notre équipe nationale lors de la Coupe du monde en Corée et Japon, nos Doyens et doyennes hisseraient le nom SE-NE-GAL dans chaque foyer de la planète terre disposant d’une télévision ! Nous devons, de manière officielle faire en sorte que le monde sache que les record de longévité tant pour les hommes que pour les femmes, sont bien détenus par des Sénégalais bon pied bon œil qui étonneraient même les scientifiques par leur intelligence d’esprit et leur vigueur physique. Figurez-vous que ma lettre recommander, avec accusé de réception adressée au Ministre Abdoul Aziz M’baye n’est partie de France qu’il y a une semaine seulement ! Je n’étais même pas au courant de l’existence du vieux Mame Gorgui Kar, et n’ai évoqué que le cas du Vieux Baye Sy de la Maison sans retour vers Diourbel. Le Ministre du Tourisme et de la culture a là une mission plus importante que les salons du Tourisme ici et là, avec des budgets énormes, alors qui si des centaines de chaînes de télévision du monde venaient une fois par an pour fêter nos Doyens ce serait beaucoup mieux.
Très émouvant, ce bout d’entretien avec Mame Khar ! Malheureusement, nos historiens, chercheurs, écrivains sont si préoccupés par d’autres choses que rien du savoir immense de notre arrière- grand- père Khar Diouf risque d’être dans l’oubli dans quelques années. On nous dirait encore, comme Ampathé Bâ, des conneries du genre : En Afrique, quand un vieux meurt, c’est une bibliothèque qui brûle » ! Cela me fait rire parce qu’il fallait écrire et conserver tout simplement, et c’est une honte que de n’avoir pas su écrire et conserver pour les générations futures ! On peut être indulgent à l’égard de ces vieux dont parlait Ampathé Bâ parce qu’ils ne savaient pas écrire, ces vieux d’il y a 5 siècles, mais nous ? Les historiens Sénégalais qui ronronnent dans les salons de Dakar ou ceux qui sont dans les mouvements corporatifs, obnubilés par la recherche effrénée de l’argent, de terrains de M’bamilor ou d’ailleurs ont là de la matière. Grâce à notre grand-père Khar Diouf, nous pourrions savoir comment on vivait il y a 110 ans en milieu Wolof du Baol et du D’Olof, quelles étaient les habitudes alimentaires des populations ? Comment se comportaient les colons, les exploitants agricole etc. Ceux qui s’étonnent que l’histoire du Sénégal ne soit pas écrite dans une Encyclopédie complète doivent en vouloir à nos historiens qui ont d’autres chats à fouetter que de s’intéresser à leur histoire, en attendant qu’un Français, un Allemand ou un Suédois viennent nous parler de nous !
Elles doivent faire un effort dans leur expression mal :
» bèn way » bèn goor
» mom dound na.
Non =am na wala ay att’am eup na
Allahouma sali ala seydina Muhamadinn nabiyil Umiyii, wa Salam.
Dieureudieuf Xaadim rassoul
Qui savait qu’il y avait autant de centenaires au Sénégal ?
L’humanité choisit de manière presque officielle le Doyen et la Doyenne de l’Humanité qui sont fêtés, adulés, filmés par toutes les chaînes de télévision du monde entier.
LES actuels SUPPOSES DOYENS ET DOYENNE DE L’HUMANITE sont deux japonais âgés respectivement de 113 et 114 ans. Pour l’occident, les nègres d’Afrique quel que soit leur âge, ne peuvent faire partie de cette sélection, et le pire, c’est qu’ils ont réussi à nous le faire accepter sans broncher!
Combien de médias d’Afrique noire nous ont parlé de madame Calman qui fut très longtemps une « supposée » Doyenne de l’humanité ?
Nos journalistes, eux-mêmes, s’intéressent aux Doyens de l’humanité que nous ont imposés le reste du monde raciste, qui ne nous considère même pas dans ce domaine !
C’est à nous de faire le blackout sur cette élection de Doyen et Doyenne de l’humanité.
Cette exclusion des Africains du choix du Doyen et de la Doyenne de l’humanité n’est du tout anodin, quand on veut bien y réfléchir, on se rend compte que pour l’occident, les nègres d’Afrique mangent mal, sont infectés de maladie, sont misérable, par conséquent, ils ne peuvent avoir des centenaires, pire, ils n’ont pas d’état civil fiable !
Quel mépris ! J’ai fait remarquer, par écrit, à l’actuel Ministre de la Culture du Sénégal, le seul à oser dire les choses avec une très grande franchise, pour lui signaler que le Doyen de l’humanité est bien Sénégalais du nom de Baye Sy, propriétaire de la maison appelée la « Maison sans retour » par les mauvaises langues.
Ce vieux Sénégalais qui a construit la maison la plus originale du Sénégal a aujourd’hui 117 ans comme Mame Gorgui Khar Diouf que je trouve admirable!
Imaginez, si notre Gouvernement avait fait les démarche pour faire reconnaître à la commission mondiale chargée de la désignation des doyens et doyennes de l’humanité nos deux vaillant centenaires, ce que nous pourrions en récolter en terme d’image !
Le Sénégal pourrait être le centre du monde chaque année, lors de la traditionnelle présentation des vœux de bonne année faite au Doyen et à la doyenne de l’humanité.
Plus que notre équipe nationale lors de la Coupe du monde en Corée et Japon, nos Doyens et doyennes hisseraient le nom SE-NE-GAL dans chaque foyer de la planète terre disposant d’une télévision !
Nous devons, de manière officielle faire en sorte que le monde sache que les record de longévité tant pour les hommes que pour les femmes, sont bien détenus par des Sénégalais bon pied bon œil qui étonneraient même les scientifiques par leur intelligence d’esprit et leur vigueur physique.
Figurez-vous que ma lettre recommander, avec accusé de réception adressée au Ministre Abdoul Aziz M’baye n’est partie de France qu’il y a une semaine seulement !
Je n’étais même pas au courant de l’existence du vieux Mame Gorgui Kar, et n’ai évoqué que le cas du Vieux Baye Sy de la Maison sans retour vers Diourbel.
Le Ministre du Tourisme et de la culture a là une mission plus importante que les salons du Tourisme ici et là, avec des budgets énormes, alors qui si des centaines de chaînes de télévision du monde venaient une fois par an pour fêter nos Doyens ce serait beaucoup mieux.
Très émouvant, ce bout d’entretien avec Mame Khar !
Malheureusement, nos historiens, chercheurs, écrivains sont si préoccupés par d’autres choses que rien du savoir immense de notre arrière- grand- père Khar Diouf risque d’être dans l’oubli dans quelques années.
On nous dirait encore, comme Ampathé Bâ, des conneries du genre : En Afrique, quand un vieux meurt, c’est une bibliothèque qui brûle » !
Cela me fait rire parce qu’il fallait écrire et conserver tout simplement, et c’est une honte que de n’avoir pas su écrire et conserver pour les générations futures !
On peut être indulgent à l’égard de ces vieux dont parlait Ampathé Bâ parce qu’ils ne savaient pas écrire, ces vieux d’il y a 5 siècles, mais nous ?
Les historiens Sénégalais qui ronronnent dans les salons de Dakar ou ceux qui sont dans les mouvements corporatifs, obnubilés par la recherche effrénée de l’argent, de terrains de M’bamilor ou d’ailleurs ont là de la matière.
Grâce à notre grand-père Khar Diouf, nous pourrions savoir comment on vivait il y a 110 ans en milieu Wolof du Baol et du D’Olof, quelles étaient les habitudes alimentaires des populations ?
Comment se comportaient les colons, les exploitants agricole etc.
Ceux qui s’étonnent que l’histoire du Sénégal ne soit pas écrite dans une Encyclopédie complète doivent en vouloir à nos historiens qui ont d’autres chats à fouetter que de s’intéresser à leur histoire, en attendant qu’un Français, un Allemand ou un Suédois viennent nous parler de nous !