À ce rythme l’hiver s’annonce chaud. Après Rachida Dati, le ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux a signé son entrée dans le hit parade des lapsus à connotation sexuelle en parlant d' »empreintes génitales ».
Nouvelle preuve de l’inflation des lapsus sexuels en politique : la maladresse de Brice Hortefeux, qui a visiblement mélangé deux mots – « génétique » et « digitale » – pour un résultat pour le moins surprenant. Après Rachida Dati, qui avait prononcé « fellation » à la place d’« inflation», le ministre français de l’Intérieur a en effet déclaré, dimanche 17 octobre lors de l’émission de radio Le Grand Jury-RTL-LCI-Le Figaro : « Il y a deux fichiers majeurs : le fichier des empreintes génitales (sic), et le fichier des empreintes génétiques. »
Le 27 septembre, la maire du 9e arrondissement de Paris, et députée européenne, avait commenté son erreur de la veille avec tact et amusement. « J’ai vu ça après coup. Sauf que quand on regarde bien, j’ai juste parlé un peu trop vite, mais bon si ça fait rire tout le monde ! », avait-elle déclaré sur RTL. Le ministre de l’Intérieur, dont l’humour a déjà connu un grand succès sur la Toile (« Quand il y en a un, ça va… »), sait ce qu’il lui reste à faire…
Jeune Afrique
Lapsus d'Hortefeux: "empreintes génitales"
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Dans ces pays où l’exhibitionnisme est une vertu, qui sait si s’il n’y a pas des recherches en cours pour prouver que les empreintes génitales, c’est mieux que l’ADN
barou boul dèfar
ils sont tous des pervers motakh gnouy dioum
lol