Cela souligne bien les préoccupations sur la culture du pays à propos de la force militaire.
La mission pour ce transporteur, un navire rénové de l’ex-Union soviétique, marque un premier pas dans les armées chinoises qui se préparent pour un déploiement complet.
La Chine affirme que le navire est destiné à la recherche et la formation, expliquant qu’elle dispose de prévisions pour construire jusqu’à trois transporteurs d’avions supplémentaires dans ses propres chantiers navals. La Chine a passé la majeure partie d’une décennie pour la rénovation de ce porte-avions, anciennement connu sous le nom de « Varyag », un ancien bateau de la flotte russe, et le navire de 300 mètres a quitté le port du nord de Dalian, où il est en révision.
Le programme des porte-avions de Pékin est considéré comme le prolongement naturel de l’expansion militaire du pays, alimenté par deux décennies de quasi-continues augmentations en pourcentage à deux chiffres dans le budget de la défense. Les dépenses de la Chine annoncées pour le budget militaire est passé à 100 M€ l’année dernière, le deuxième le plus élevé au monde après les Etats-Unis.
Alors que le développement de porte-avions est largement déterminé par le prestige national, les ambitions navales de la Chine ont également été mis en évidence avec ses revendications sur le territoire en litige entourant Taïwan et dans la mer de Chine méridionale.
Taïwan, la démocratie île revendiquée par la Chine comme son propre, a réagi en développant des missiles capables de frapper en mer. Une illustration à un écran de technologie militaire à Taïwan, la capitale Taipei hier ont montré une Hsiung Feng III missiles frappant un transporteur qui portait des similitudes frappantes avec l’ancien navire « Varyag ».
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