Son âge avancé ne semble être un handicap pour briguer un troisième mandat à la tête du Sénégal avec ses 84 ans. Abdoulaye Wade tient à rassurer sur sa santé et dit qu’il a hérité sa longévité de sa grand-mère et de son père. «Ma grande mère a vécu 121 ans alors que mon père est mort à 101 ans en gardant toutes ses facultés», a-t-il déclaré aux journalistes de France 24 et de RFI à qui il a accordé un entretien.
Malgré ses 84 ans, le président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade a décidé de présenter sa candidature à la présidentielle de 26 février 2012 pour un troisième mandat. Le leader du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) ne craint pas pour sa santé ni pour ses capacités à exercer le pouvoir. Dans un entretien accordé à RFI et France 24, il a affirmé : «ma grande mère a vécu 121 ans alors que mon père est mort à 101 ans en gardant toutes ses facultés. Je n’ai pas de problème c’est peut être une question de longévité. C’est un héritage». Avant de faire comprendre aux journalistes français que «votre président, Nicolas Sarkozy me demande chaque fois comment vous faites pour être en forme ? Je ne fais rien du tout c’est un héritage», a-t-il rétorqué.
Abdoulaye Wade est d’avis qu’il faut laisser aux sénégalais le droit et la liberté de s’exprimer. «Si les sénégalais s’aperçoivent que je n’arrive plus à gouverner, ils ne voteront pas pour moi. Il faut leur laisser l’appréciation», a-t-il ajouté. Il a, dans le même sillage, indiqué que «peut-être que dans certains pays, il y a une limitation d’âge pour la présidentielle. Cela n’existe pas chez nous donc il faut laisser aux sénégalais la latitude de voter pour un candidat sans considération de l’âge. Comme on a l’habitude de dire, «on l’âge de ses artères». Le président Abdoulaye Wade d’insister : «je me porte très bien, je me sens en forme à tout point de vue. Si je me sentais malade, je ne vois pas pourquoi je vais insister. On me parle de mon âge, je n’ai pas de complexe».
Le chef de l’Etat sénégalais a, par ailleurs, été interpellé sur la polémique soulevée par sa candidature pour un troisième mandat à la tête du pays alors que la Constitution n’en autorise que deux. «Il n’y a pas de problème de constitutionnalité sur ma candidature. Au demeurant, mais laissons le juge constitutionnel décider», a-t-il déclaré. Il a, ainsi, fait savoir : «je suis candidat à la présidentielle de février 2012 et mon parti a décidé de me présenter et de me soutenir tout comme des sénégalais aussi. Moi je suis un démocrate, je laisse les sénégalais décider».
Par rapport à la succession monarchique au Sénégal, le leader du PDS a souligné : «je ne prépare pas mon fils à être président de la République du Sénégal. Mais je ne l’empêcherai pas d’être candidat». Et d’ajouter : «si je devais le présenter à la présidentielle, je commencerai par sortir d’ici. Le jour où je déciderai de présenter mon fils, on ne va pas me faire la morale. Je commencerai par retourner chez moi tranquillement et remettre ces lieux à quelqu’un d’autre conformément à la constitution. Et après, il ira se présenter». Abdoulaye Wade a tenu à préciser : si j’ai demandé un nouveau mandat, c’est pour l’exercer parce que j’ai commencé à faire de très bonnes choses que je veux terminer».
pressafrik.com
ecoutez-moi ce voyou qui raconte sa vie………….comme un enfant qui reve………..
Bonjour Gorgui
Mais est ce tes parents avaient tjr toutes leurs facultés mentales ?
Est qu »ils avaient tjr la capacités de gérer leur maison ?
Lolou ma diar wakh et puis on ne veut pas d’un president qui meurent au pouvoir nak Gorgui