Emission animée par Imam Babacar Cisse, docteur en Neurochirurgie à l’hôpital Presbyterian Hospital de New York

Merci beaucoup xalima pour cette initiative. Voici une emission interessante

Xalima, Yalna Yalla faye lene ay yiiw pour ce vous faites pour le Senegal et les Senegalais.
Vraiment comme votre nom l’indique ap xalima bou bakh ngune. Du courage et qu’Allah vous benisse.
Wa Xamsadine aussi qu’Allah vous benisse, vous etes vraiment au service des Senegalais

masha allah, yalnaleen YALLAH fay yiw ci liggeey bou magg bii ngeen di deff
yalnaleen yallah defal tawfiiq fiddunya wal aqirah

Toutes nos félicitations à notre confrère, le Dr Babacar CISSE (Neurochirurgien aux USA), pour la qualité et l’opportunité de son enseignement, à propos de cette maladie dont les complications sont redoutables ; il contribue ainsi à mieux la faire connaître et la prendre en charge. Au-delà, j’ai personnellement la conviction inébranlable que la spiritualité, dont l’efficacité dans la gestion du stress – le « mal du siècle » – est indéniable, devrait jouer les tous premiers rôles et se trouve ainsi promue à un très bel avenir, surtout en Occident. En vérité, il est établi qu’il y a ‘’une susceptibilité personnelle qui fait que pour une même durée de diabète et une même qualité de contrôle de la glycémie, certains patients feront des complications graves et d’autres pas du tout’’ ; et il est plus que vraisemblable que le psychisme soit déterminant dans cette susceptibilité personnelle, par le biais de l’immunité, ce d’autant que l’auto-immunité est clairement en cause dans la survenue du diabète de type I (insulinodépendant) et de certaines complications du diabète de type II (non-insulinodépendant). Oui, rien d’étonnant quand on sait que ‘’le postulat de la modulation des réponses immunitaires par les événements psycho-affectifs a une base scientifique (Pr Jean-François BACH). C’est dire toute l’importance d’une vie saine – et donc de la spiritualité, tant dans la prévention que de la prise en charge du diabète sucré. Et très vraisemblablement, c’est la non prise en compte de cette importante donne qui explique la très grande fréquence des complications dans les pays dits développés, matérialistes à outrance, en dépit des énormes moyens dont ils disposent. La spiritualité apporterait vraisemblablement des réponses ‘’physiologiques’’ complexes, pour maintenir un équilibre savant ou pour corriger une rupture de cet équilibre, presque toujours en cause en pathologie médicale ; oui, c’est elle qui conditionne le pronostic et l’évolution de toutes les affections – Dieu ne délivre t’Il pas presque toujours les « bienfaisants » de l’affliction ? [(3. La Famille d’Imran : 148) ; (16. Les Abeilles : 128) ; (7. Al-Araf : 56)]. Et certes, la survenue d’une complication est un risque que court tout diabétique et qu’il faut prévenir de son mieux par tous les moyens dont on dispose, mais, comme tout risque, du fait du niveau spirituel (ihsâne) ou d’une prière exaucée, il peut ne jamais se produire, en dépit de tous les signes prémonitoires – par la grâce de Dieu, l’Omnipotent ; c’est la foi qui sauve !!! [(Luc 5 : 12-16) ; (Luc 5 : 17-26) ; (Luc 6 : 6-11) ; (Luc 13 : 10-17) ; (Luc 14 : 1-6)]. Voilà donc un axe de recherche très prometteur que notre confrère devrait concevoir aisément du fait de ses connaissances avérées en sciences religieuses ; une perspective qui permettra très vraisemblablement de faire des avancées notables en thérapeutique – C’est un défi biblique et coranique [(21. Les Prophètes : 87-88) ; (37. Les Rangés : 139-148)]. Dr Mouhamadou Bamba NDIAYE, Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar, Pédiatre.

mashaa Allah, les émissions sur la santé sont pédagogiques, accessibles, utiles pour tout un chacun. Qu Allah (SWT) vous récompense bénisse et facilite pour la suite

mashallah li mom am na solo lool jarajeuf xalima (bégué!!!)