Essai d’interprétation de la sourate 111 : Que Périssent les mains d’Abou… le père de la Géhenne par Dr Ousmane Diallo

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Un petit chapitre, petit dans le sens du nombre de ses versets, qu’a pratiquement mémorisé la majorité des enfants musulmans, mais gigantesque de par la terreur que sa récitation, surtout lors de la prière du crépuscule (timiss), insuffle aux princes et roitelets dans nos royautés soudano-sahéliennes, nous servira de paradigme dans notre exercice de citoyen.  Ce chapitre révélé à notre référence ultime,

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