Depuis quelque temps, les prix des denrées de première nécessité ne cessent de flamber. Notamment ceux des légumes et du riz qui ont flambé, à la grande désolation des pères de famille qui sont obligés de débourser plus d’argent pour la Dq. Carotte, chou, oignon…, tout a connu une flambée. Salimata Seck, ménagère rencontrée au marché n’a pas manqué de déplorer cette situation et de se plaindre : «d’ordinaire j’achetais le kg de carottes à 500 FCFA, maintenant il faut 800FCFA pour l’avoir», déplore-telle. Poursuivant, elle renseigne : «Même le chou, l’oignon, la patate, le poivron, l’oignon vert et la salade n’échappent pas à cette hausse abusive». Chez les vendeurs de légumes, on confirme. Le chou qui se vendait à 500 francs le kg il y a de cela quelques semaines est actuellement à 800. Pour ce qui est de la patate, elle est passée de 200 à 400 FCFA. Une situation que beaucoup de ménagères déplorent.
En dépit du renchérissement des prix, les ménagères sont obligées de se plier au diktat des marchands.
Une bien malheureuse situation qui a tendance à s’ériger en règle en cette période de veille de Tabaski. «Nous déplorons cela. Le gouvernement ne fait rien pour sortir les Sénégalais de ce calvaire. Nous sommes anéantis et nous n’arrivons pas à vivre de nos salaires», déplore un citoyen rencontré sur place. Ce dernier invite les associations de consommateurs à mieux réfléchir sur la situation afin de venir en aide aux Sénégalais qui se débrouillent tant bien que mal pour manger à leur faim.
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