Il est actuellement difficile dans le monde “virtuel” de (Google, Facebook, Skype, Amazon et autres) de détecter et de retracer l’origine et la destination des biens et capitaux. Les transactions commerciales et financières s’effectuent en minutes et secondes sur un clic d’ordinateurs. Les principaux acteurs (émetteurs et récepteurs) veulent si possible éviter de laisser peu ou pas de traces de leurs achats (ventes) et virements bancaires. Les raisons sont nombreuses mais parmi les plus notables l’évasion fiscale et l’intégration dans l’économie de biens acquis illicitement. Les paradis fiscaux, les banques Suisses et les Etats à faibles institutions ont longtemps servi de leviers pour la facilitation des échanges et le réinvestissement dans les canaux légaux de ces biens et services. Les banques Suisses
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