Chaque jours des dizaines de soit disant mendiants, homme ou femme, jeune ou adulte et même vieux, sans aucune handicap physique ou mentale sillonnent les rues de Dakar, squattent les stations d’essence, les boulangeries et les banques, à la quête de pièce de 50, 100 Fcfa., ils sont souvent bien habillé, à les voir on ne croira pas qu’ils osent tendre la main, mais tel est la réalité. Ils sont traités dès fois de « petits arnaqueurs » du fait qu’ils sont souvent démasqués dans leur jeu, en abordant 2 fois leurs victimes pour la même raison, panne d’argent pour se transporter ou manger.
Et ces victimes sont la plupart indigné de ces mendiants et leur conseil de se mettre à la tache come tout bonne citoyen. Ami, une jeune fille commerçante à Sandaga fulmine le comportement des mendiants « ils n’ont qu’à aller travailler. Même les gens qui ne sont pas bien portant se débrouillent sans quémander par ci et par là. Tout le monde peu tendre la main vu que c’est facile, mais qu’il ait un minimum de dignité pour eux même » tance-elle. A quelques encablures de là, on retrouve Gora un taximan, la cinquantaine révolu « je ne veux pas trop me prononcer sur cela, mais il est évident que ces gens qui font ses pratiques ont de quoi intimider plus d’un. Je ne comprends comment une personne à qui Dieu n’a ôté aucune faculté physique ou mentale, capable de se mouvoir et puis mature, peu se permettre de demander des pièces basés sur de faux motifs » se désolent le vieux chauffeur.
Pis « ils ont la salle habitude d’en faire un métier, ce qui n’est b=pas encourageant est que le sénégalais est toujours généreux et encourage ces gens dans ce qu’il font » regrette Gora. Mais tel n’est pas l’avis de ce jeune marchand ambulant. Pour lui chaque personne à le droit de vivre de ce Dieu lui a donné, on n’a pas tous les mêmes moyens, ce qui mendient le font par nécessité et par conséquent quiconque peu les aider n’a qu’a le faire au lieu de les juger.
Il est jeune, de teint noir, habillé d’un jean et un teeshirt gris, quelques affaires à la main, Abdou âgé d’environ 16 ans tend la main à qui peut. Ces premiers mots furent « Adja donnez moi 25 FCFA » fixant ainsi son prix à l’aide. A la question de savoir ce qui le pousse à mendigoter des pièces alors qu’il a la capacité d’aller travailler, il n’a pas grand-chose à dire à part un « rien ». Mais il tient coute que coute que je lui file de l’argent et pour se justifie il se lance « j’habite à Keur Massa r et je n’ai pas de l’argent pour me transporter ni pour manger. Je veux bien travailler mais je ne sais pas ce qui me retient, alors donnez moi un peu de monnaie, je vous assure que cherche du travail » se convint-il.
afriquepresse
Nom mais Je reve ou quoi? Comment Xalima (yenn tamit) pouviez poster un tel article truffé de fautes, redigé dans UN francais laborieux et inconsistent dans sa forme. Ne nous dites pas SVP que l’auteur est journaliste!
Pire le contenu n’a quasi rien à voir avec le titre annoncé à grandes pompes. Vraiment il est temps que nous essayons tant soit peu de retourner vers la quête de la qualité. Ce genre de posting sur un tel site (ô que j’aime Si bien) ne nous honore point!