Karim à un pas de la prison : Un de ses proches serait disposé à livrer des informations à charge contre lui.

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L’enquête sur l’enrichissement illicite présumé bat son plein, le premier à avoir déféré à la convocation de la section de recherches de la gendarmerie nationale à ce sujet, Karim Wade, ne se tirera surement pas d’affaires au rythme où vont les choses. Des sources très au fait du dossier renseignent que la justice maitrise totalement les tenants et aboutissants du fameux jet privé qui aurait couté 12 milliards FCFA au trésor public sénégalais. Selon les mêmes sources, ça va de mal en pis pour Karim, d’autant que les enquêteurs ont découvert des prête-noms. D’ailleurs, un d’eux a été arrêté hier par la police de l’air et des frontières, alors qu’il se préparait à sortir du pays. Plus grave encore, un de ses proches serait prêt à le lâcher. Il serait disposé à livrer des informations à charge contre le fils de l’ex-président, qui doit repasser devant les enquêteurs demain jeudi.
Rewmi

7 Commentaires

  1. linformation est fausse . le prete-nom est la mentalite senegalaise avec les familles elargies et les fetes repetetives: Karim na pas cette mentalite cetait une chance pour ce pays cest pourquoi il a realise ce qu aucun autre ministre na realise depuis lindependance.

  2. JE METS EN DOUTE L INTELLIGEANCE DE KARIM DONT SON PERE METTAIT TOUJOUR EN AVANT .
    PARCE QUE MEME UN CON COMME YDRISSA SECK A VOLE DES MILLIARDS SANS TRACE ET D AUTRES JE C PAS COMENT CE NULLARD A FAIT OUBIEN IL PENSAIT QU IL ALLAIT SUCCEDER A SON PAPA

  3. un exécutant avéré de karim wadd s’appelle Pape Pouye, qu’il traitait comme un chien d’ailleurs malgré le fait que le gars exécutait ses « affaires ».
    Faut passer l’information svp.

  4. Flash-back sur l’audition de Wade fils ! La très « reseauté » « Lettre du Continent » révèle, dans sa toute dernière livraison le film de l’interrogatoire de Karim Wade dans les locaux de la redoutée Section Recherches de la gendarmerie Sénégalaise. Selon nos confrères, lors de cette audition, « Wade fils a été confronté à un procureur zélé, sous les tirs croisés de cinq gendarmes ». Et la « Lettre du Continent » d’abonder dans le même sens qu’une partie de la presse Sénégalaise pour qualifier de « fait inhabituel », la présence du Procureur Spécial près la Cour de Répression de l’enrichissement illicite, Alioune Ndao. Ce dernier, « visiblement insatisfait de certaines questions et souvent scotché à son téléphone, ne s’est pas cantonné au rôle de spectateur ». A en croire la Lettre du continent, « à plusieurs reprises, il a glissé des petits mots aux enquêteurs et a demandé des suspensions de séance afin de se concerter avec eux dans une salle attenante ». Il nous revient de la « Lettre du Continent » que chaque interruption a été aussitôt suivie d’un changement de stratégie dans la conduite de l’interrogatoire. Les enquêteurs ont tour à tour passé au peigne fin la vie de Karim Wade, son cursus universitaire, son parcours professionnel et politique, la nature et l’origine de ses biens, etc. Autre révélation et pas des moindres: la « Lettre du Continent » soutient mordicus que cette convocation a été minutieusement préparée par les autorités sénégalaises. « Des instructions ont été adressées à l’administration des impôts et des domaines, leur enjoignant de vérifier scrupuleusement l’existence de biens aux noms de l’ancien ministre, mais aussi de ses trois filles, âgées respectivement de 10, 8 et 7 ans. Un message similaire a été envoyé à l’Ordre des notaires et aux banques opérant dans le pays pour qu’elles vérifient l’existence de transactions et de comptes bancaires aux noms des trois héritières ». Détail important : l’audition, toujours selon nos confrères, s’est déroulée, conformément à la loi, sans l’assistance d’un avocat. Karim Wade a pu conserver son passeport, mais il fait de toute évidence l’objet d’une interdiction de sortie du Sénégal. Une note a été envoyée en ce sens aux autorités aéroportuaires, ainsi qu’aux différents postes-frontière.

  5. Si monsieur Karim Wade était condamné pour avoir bénéficier des milliards que son père lui aurait donné, je jure devant Dieu que je combattrais le Président Macky Sall qui dispose des même avantages, jusuq’à ce qu’il nous rende ces milliards et s’il ne les rendait pas, j’éduquerais mes enfants afin qu’ils continuent ce combat pour contraindre les enfants de Macky Sall à leur restituer ces milliards par tous les moyens ! Nous ne sommes ni les esclaves de Karim, d’Abdoulaye Wade, encore moins de Macky Sall! Les intérêts du peiple sénégalais nous importent plus que nos relations avec les uns et les autres. Les Citoyens Sénégalais doivent apprendre, ou on doit leur apprendre à ne penser quaux intérêt de notre peuple dans son ensemble et césser de penser en fonction uniquement de leurs camps politiques. Si notre pays n’a pas encore décollé socialement et économiquement, c’est, à mon avis, parce que nous n’aimons pas encore tous les enfants du Sénégal comme nos propres enfants, les mamans comme nos propres mère, et pères comme nos propres pères. Sans amours, respect le peuple sénégalais ne vivra jamais en harmonie, dans la justice et la paix. Nous devons nous pôsez cette question fondamentale pour comprendre ce que l’on reproche à Karim : Ce monsieur qu’on traîne dans la boue avait-il le droit de recevoir de l’argent de son père pour son intérêt personnel ? Si non , pourquoi ? D’autre part, poser la question de savoir si le Président de la République actuel Macky Sall a-t-il le droit de remettre deux milliards à un de ses frères ? Si on répond à ces questions, on attend la suite des enquêtes sur Karim avec plus ou moins d’inquiétudes !

  6. Ce que nos vaillants journalistes oublient de mentionner ou ignorent, c’est que nos gendarmes, Procureurs n’osaient pas retenir le Passeport Français de monsieur Karim Wade, sinon ils auraient essuyé les remontrances de la France qui ne badine pas avec les droits de ses citoyens, même ceux qui ont la double nationalité. Monsieur le Procureur N’daw n’est pas né de la dernière pluie et sa témérité, si témérité il y a a ses limites ! D’autre part, on voit bien que l’Hebdomadaire Franco-Africain « LA LETTRE DE LA NATION » d’Antoine Glaser a plus d’en,trées au Sénégal que beaucoup de nos prétendus grands journalistes, car leur patron est sourcé par les services secrets Français basés à Dakar qui ont dû détenir le PV d’audition de leur « demi-citoyen » Karim Wade. Dans une semaine Karim va triopher face à ses adversaires et nous commencerons le combat pour la reconquête du pouvoir aux côtés de millions de Sénégalais qui lui reconnaissent des qualités extraordinaires qui nous permettraient d’atteindre l’émergence économique et sociale plus rapidement qu’avec ceux qui nous gouvernent aujourd’hui !

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