La crise au Burkina Faso : l’affirmation du leadership régional du Président Macky SALL

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Fidèle à sa vision pour une Afrique de stabilité et de progrès solidaire, le Président de la République Monsieur Macky SALL et Président en exercice de la CEDEAO, s’est investi pour la restauration de l’État de droit au Burkina Faso.
Cet engagement fondé sur sa conviction que seul le dialogue sincère entre toutes les parties prenantes peut permettre un règlement pacifique des différends, a abouti à la proposition et à l’acceptation d’un plan de sortie de crise que toute la communauté internationale a saluée.
Pour réussir cette sortie de crise, le Président Macky Sall a fait preuve de clairvoyance politique, d’une lecture avisée et d’une force de persuasion.
Ce succès consacre le leadership régional du Président Macky SALL dans la résolution des crises et honore le Sénégal qui devient ainsi un carrefour grâce à la diplomatie de conciliation que mène son Président. De Bissau au Mali, de Conakry au Burkina, le Président Macky Sall est sollicité pour ses conseils. Cette marque de confiance traduit le retour du Sénégal sur la scène internationale en général et en Afrique en particulier.
Nous devons en être fiers et nous féliciter de l’offensive diplomatique lancée par le Président Macky Sall depuis son accession au pouvoir. De par ses initiatives, son audace, il a pu restaurer l’image de notre diplomatie et faire de sorte que le Sénégal soit respecté et écouté sur la scène internationale. Le Président de la République a compris que lorsque la diplomatie d’un pays est conquérante, agissante, et active, il est évident que les partenaires lui feront confiance et lui réserveront une place de choix dans le jeu international.
Ce succès salué par la communauté internationale est malheureusement critiqué et interprété à travers un prisme déformant par certaines personnes qui s’improvisent analystes politiques ou chroniqueurs des relations internationales. Nous avons retenu particulièrement les sorties de Babacar Justin Ndiaye et Omar Sarr du PDS qui ont voulu faire croire à l’insuccès de la médiation sénégalaise à travers une argumentation caractérisée par une vacuité déconcertante.
En effet, s’agissant de Babacar Justin Ndiaye, ses sorties hasardeuses faites sur la base d’émotions et de propos irrévérencieux ont fini de convaincre les hommes avertis qu’il est loin d’être pertinent. Que reproche-t-il au Président de la République dans la médiation au Burkina? Notre politologue émérite, désapprouve l’accueil fait du Président de la République Macky SALL par le colonel Diéndéré, avec le risque de légitimer le coup de force. Nous n’apprenons rien à M. Ndiaye en disant que les militaires étaient le seul point de contact pour renouer le dialogue.
Par ailleurs, le Président Macky SALL est allé négocier avec un agenda accepté par ses paires de la CEDEAO. Pourquoi vouloir lui imposer donc un unilatéralisme dans la médiation au Burkina?
Relativement au coordonnateur du PDS en l’occurrence Omar Sarr, il a essayé de tester ses capacités en écriture à travers sa « contribution sur la médiation de Macky SALL» dans la presse en ligne. Malheureusement cet exercice s’est révélé désastreux et affligeant pour quelqu’un qui se positionne comme acteur politique de premier plan.
Envers et contre toute objectivité et pertinence nos amis précités réprouvent la médiation du Président de la République et refusent de lui reconnaître tout succès.
Bref leurs interprétations erronées sont faites à dessein et le but est assurément d’induire la population en erreur. Si elles sont volontaires, on peut conclure que nous avons affaire à ceux qui regardent le doigt quand on leur montre la lune. Mauvaise foi ou incompétence dans les deux cas, il est illusoire de s’attendre à ce qu’une quelconque lumière jaillisse de leurs idées.
Hady TRAORÉ
Coordonnateur Général de la DSE APR du Canada

2 Commentaires

  1. Comme des magiciens dont la formule magique n’opère plus de miracle, mais qui n’ont pas autre chose. Alors sous le regard condescendant de ceux qui les ont compris, ils ferment les yeux et répètent quand même.
    Rappel.
    Deux recettes outrageusement appliquées au Sénégal de l’Arc en Ciel:
    — 1/ Donnez moi un homme et deux pouvoirs et je lui ferais croire qu’un singe est son dieu. Donnez-moi le pouvoir de le répéter et celui de lui interdire toute autre source d’information que moi. Dixit Révérend Moon. La répétition se fait ici par la coordination des médias. Les titres sont distribués à minuit par les manitous Latif, Abel Thiam, etc… Et le lendemain: un, deux, trois… On répète. Et quand les enveloppes tardent à tomber, des Madiambal tirent à boulets rouges sur Abdoul Mbaye. Quand les enveloppes tombent, tout rentre dans l’ordre. Macky acquiert un « destin pour l’Afrique » dans le même journal.
    — 2/ « Qu’est-ce que gouverner le monde si ce n’est faire croire à des imbéciles qu’ils pensent par eux même ce que nous leur faisons penser ? » Dixit Jean Anouilh. Au Sénégal de l’Arc en Ciel, les fanatisés dans le cerveau desquels ont a déposé ce qu’il faut penser sont fiers de crier que c’est leur idée qu’ils ont librement choisi. C’est tout bénef pour les maîtres manipulateurs. Satan est très fier d’une victime qui ne croit pas à l’existence de Satan. Parce qu’elle n’opposera aucune résistance.

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