Dauphin pressenti d’Abdoulaye Wade avant de tomber en disgrâce, l’ex-premier ministre et actuel maire de Thiès, Idrissa Seck, a concocté une équipe de haute voltige pour affronter son ancien mentor à la présidentielle de février 2012. Léna Sène a ainsi été nommée directrice de campagne. Métisse musulmane ayant vécu seize ans aux Etats-Unis, la fille du communiste Ibrahima Sène, figure duParti de l’indépendance et du travail (PIT), est diplômée d’Harvard. Egalement issu de cette prestigieuse université américaine, le mathématicien Momar Diengest promu directeur adjoint. Membre de la Fondation européenne pour la démocratie, le chercheur Bakary Sambe a été, pour sa part, nommé directeur des études.
D’autres collaborateurs, tel Alassane Ndiaye, le maire de Thiès-Nord, ont rejoint le staff de campagne, pour laquelle le candidat du parti Rewmi a déployé d’importants moyens financiers et logistiques. Cette équipe comprend également les polytechniciens Aziz Gueye et Déthié Fall, chargé des cadres de Rewmi, ainsi que le professeur de droit à l’Université de Bordeaux, Alioune Badara Fall. En plus des collaborateurs de la première heure, tels Oumar Sarr,Pape Diouf, Maguette Ndèye ou Garmi Fall, l’équipe compte également plusieurs transfuges du Parti démocratique sénégalais (PDS), à l’instar de Serigne Babacar Diop, ex-responsable des cadres du parti de Wade, et de Lamine Bâ. Ce dernier, ex-administrateur général adjoint du PDS, est le vice-président de l’Internationale libérale et membre du secrétariat général de Rewmi. Reste à convaincre les Sénégalais, très attachés à l’expertise locale, de la pertinence de cette équipe.
Lettre du continent
Bonne chance, les gars ! We can do it !
Partisant farouche et lucide du Président-candidat Wade, j’avoue qu’après avoir lu l’intervieuw en deux parties, de monsieur Seck Idrissa, parue dans Walf quotidien, force est de reconnaitre qu’il est le seul, de tous les opposants à Wade, à définir un programme alléchant, chiffré. Je suis très rassuré de remarquer que monsieur Seck Idy, en proposant de reconduire, s’il était élu président de la république en 2012(ce que je ne souhaite pas!) le programme de Wade qui consistait à injecter 100 milliards de francs chaque année, dans une capitale régionale, devant accueillir les festivités de la fête de notre indépendance. Voilà une idée que j’avais saluée, en son temps comme une lumineuse façon de rééquilibrer la modernisation entre les villes du Sénégal. C’est la preuve que monsieur Seck est un grand homme d’Etat, qui ne pense qu’à prendre debonne idées, d’où elles viennent. D’autre part, on peut, si on est pas animé de jalousie, reconnaitre à Monsieur Seck, une maîtrise parfaite de ce qu’il voudrait faire du Sénégal s’il était élu. D’autres ca,ndidats se limitent souvent à ne nous parler que de tambouilles policiennes. N’eût été la présence de Wade dans la course en 2012, je suis certain que beaucoup de partisans de Wade, se seraient retrouvés derriere mr Seck.Ce qui m’étonne, par contre, c’est son assurance presque surnaturelle, à penser que Wade sera battu et que c’est lui qui sera président en 20012; dieu lui aurait-il parlé? Je ne vois pas, moi, ce qui pourrait, sinon un grand malheur, dont dieu seul a le secret, empêcher le Président Wade d’être encore à la tête du Sénégal après 2012, de manière démocratique et limpide!!
Mon texte a été refusé, sous prétexte que j’aurais déjà envoyé le même. Il n’en est rien, je ne vous ai pas envoyé de texte depuis belle lurette. Etes-vous en train de censurer les texte favorable à Wade?