Le directeur de l’école, Sidy Diémé vivait en concubinage avec la fillette de 10 ans

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Les éléments de la brigade de gendarmerie de Bounkiling ont interpelé puis placé en garde à vue hier, mardi 7 mai 2013, le sieur Sidy Diémé enseignant de son état et directeur de l’école de Boghal. Il est accusé de viol à répétition sur une fillette de (10) dix ans du nom de O. C. De pareils actes de violences sur mineures commencent à courir les rues de Sédhiou et son interland nonobstant les multiples appels des organismes de défense des droits de la femme.

(SEDHIOU) – Le délinquant sexuel présumé n’est personne d’autre que le directeur de l’école de Boghal, chef lieu d’arrondissement et siège de communauté rurale du même nom dans le département de Bounkiling. Sidy Diémé puisque c’est de lui qu’il s’agit, est né en 1964 et est accusé de viols à répétition sur une mineure âgée seulement de dix ans.
Actuellement divorcé, cet enseignant servait à Sédhiou et vivait en location. Il a été ensuite affecté à Boghal comme directeur d’école et en quittant, renseigne une source, la propriétaire de la maison à Sédhiou lui avait proposé de mettre sous sa garde sa petite fille pour mieux la surveiller dans ses études.

Selon nos informations, une fois arrivée à Boghal, Sidy Diémé a loué une chambre qu’il occupe avec la fille en question et sa fille à lui. Des informations concordantes attestent aussi que M. Diémé a fini par prendre la fille qu’on lui a confié comme sa propre femme. Vivant avec elle en concubinage. Une source médicale ayant requis l’anonymat indique que la fille est actuellement très infectée se faisant prévaloir le droit de réserve sur la nature de l’infection mais ajoute que la petite fille innocente sera consultée par un spécialiste ce mardi même (hier, Ndlr). Sidy Diémé est actuellement en garde à vue à la brigade gendarmerie de Bounkiling et sera déféré au parquet de Kolda dans les heures qui suivent.
La culpabilité des parents

Le film des événements force l’interrogation à se demander comment des parents responsables peuvent-ils confier la garde de leur fillette à un homme divorcé. Simple marque de confiance ? Soit ! Mais, au moment de l’affectation de cet enseignant, la fillette était loin de ses dix ans d’aujourd’hui.

C’est assurément ignorer l’animalité chez certains sujets humains ou ce qui leur ressemble à verser dans des cas pareils de viol et même d’inceste. La tentation est d’autant plus forte que la précocité des jeunes filles est assimilable à l’attraction de l’amant. Mais, qu’on ne s’y trompe guerre. C’est à ce niveau précis que se situe la ligne de démarcation entre l’homme ayant dompté la nature et les animaux qui y vivent suivant la pesanteur de leur instinct.
A rappeler qu’en avril dernier seulement, un autre scandale sexuel portant sur une mineure de onze (11) ans perpétré par un sujet en cours de traitement psychique, a eu lieu dans ce même village de Boghal, grand foyer religieux non loin de Saré Alkaly.
Au cours de cette même période, un autre cas, d’un auteur présumé enseignant, sur une fillette de six ans, a défraie la chronique dans une école de la commune de Sédhiou avant de se répandre dans tout le pays comme une trainée de poudre asphyxiant toutes vertus morales à l’autel d’un appétit sexuel débordant et indigne d’un éducateur.

1 COMMENTAIRE

  1. mais ques ce que les enseignants trouvent chez les jeunes filles de 08 a 16 ans si ceux qui doivent éduquer violent nos enfants et demander toujours de l’argent ou va le pays (kho lat len sen boppe )

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