Il fait partie des joueurs qui avaient affronté le Niger (1-1), en amical en 2012. Pour Mohamed Diamé, l’adversaire de ce samedi, pour la 3e journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) 2017, est difficile. Mais le milieu de terrain sénégalais de Hull City (Angleterre) espère faire peur au Mena dès Dakar avant la manche retour de mardi prochain.
Comment vous avez vécu cette première séance d’entraînement de ce lundi ?
C’est toujours bien de retrouver mes frères, on n’est pas au complet mais on le sera d’ici à demain (ce mardi). On a fait une bonne séance comme d’habitude mais le plus important, c’est de se retrouver, de parler un peu de nos matches en club et retrouver cette osmose qu’on a tous ensemble avec l’équipe.
Vous vous sentez comment personnellement ?
Très bien ! Personnellement, comme vous le dites, j’ai eu un passage très difficile avec cette blessure mais tout ça est derrière moi et je suis revenu en club. On fait du bon travail en club et j’espère que je vais pouvoir donner le maximum ici et faire quelque chose de plus pour mon pays.
Qu’est-ce qui fera la différence ?
J’ai entendu parler de match-piège mais on n’a plus de match-piège ici. En Afrique, tous les matches sont compliqués. Voilà, on va se préparer en fonction d’eux, le coach va nous parler de cette équipe du Niger et on va travailler pour obtenir cette victoire.
Vous avez déjà joué contre le Niger. C’était comment ?
C’était un match compliqué, on connaît le joueur majeur, Mâazou (Moussa). Il va essayer de créer des difficultés à nos arrière-centraux. Bon, comme je vous l’ai dit, le coach a ses vidéos, il va essayer de nous parler un plus de cette équipe et on va pouvoir se préparer pour gagner.
A Dakar, le climat est ok ; mais à Niamey, il va faire 40°. Ce n’est pas un souci pour vous ?
Il va faire 40° pour toutes les deux équipes. Ce n’est pas nouveau pour nous en Afrique. Ce n’est pas la première fois qu’on va aller jouer sous des climats compliqués. Mais comme je vous l’ai dit, il faut qu’on soit prêt, c’est tout.
Vous voulez faire l’essentiel à l’aller ?
Bien sûr, comme à chaque match, on va essayer de jouer pour le gagner. Et si on peut leur faire peur déjà ici, chez nous, pour arriver là-bas avec plus de confiance et qu’ils aient un peu plus de crainte, on ne va pas se gêner.
Personnellement, vous n’êtes plus titulaire en sélection. Comment vous le vivez ?
Très bien ! Comme je vous l’ai dit, je reviens d’une longue blessure, il y a des étapes à passer avant de revenir. C’est comme la vie normale, il y a des moments difficiles ; pour revenir, il faut travailler. Et voilà, c’est ce que je suis en train de faire. Je vais travailler tranquillement et les choses vont arriver.
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