XALIMA NEWS – Après les révélations de Pape Alé Niang sur la léthargie profonde dans laquelle l’Office nationale de lutte contre la corruption (OFNAC) est plongée depuis l’arrivée de Seynabou Ndiaye Diakhaté, la structure chargée de lutter contre la corruption a vécu une chaude journée ce jeudi.
Selon notre source, la présidente de l’ OFNAC est entrée dans une colère noire et a convoqué une réunion restreinte avec son cercle intime pour préparer une chasse aux sorcières. Certaines personnes sont suspectées de livrer des informations qui sont, apparemment, très sensibles dans le contexte actuel où se trouve l’institution. Alors quelles informations devrait-on tant craindre de voir s’ébruiter au point d’en arriver à ce stade ?
Ainsi, l’institution traverse une crise et c’est le moins qu’on puisse dire derrière une atmosphère inconfortable, nous renseigne la source. Pour le moment, 9 de ses enquêteurs sont alors sommés d’arrêter leurs investigations. Une affaire à suivre…????
Et ce sera ainsi jusqu’à la fin du mandat de Macky le nébuleux…..tous des menteurs et des dealers.
Notre imbécile au palais comprendra tard à cause de son bas QI, mais comprendre il fera, que nous n’auront jamais de dictateur dans ce pays. Certe il y aura tjrs des badola comme l’actuelle directeur de l’ofnac qui essayeront à tord de faire passer son message mais ce sera en vain.
Rappelez vous qu’il avait voté sans carte d’identité en forçant son passage. Malheureusement pour nous il avait trouvé dans ce poste de vote des gens qui n’étaient pas assez dignes pour lui rappeler que sa tête de con est insignifiant par rapport à notre constitution.
Une institution dont les taches et travaux ne doivent souffrir d’aucune fuite. Un impératif catégorique pour la pérennité de l’institution. Chez nous, on parle à tort et à travers. Il faut savoir tenir sa langue
Mon cher « anonyme », vous avez un sens de la logique pour le moindre bizzard. Faut-il se taire quand le feu qui va détruire la république et ses institutions avec est entrain de prendre de l’ampleur? On comprend, pour vous il faut se taire parceque les textes le disent. Ces meme textes dicte au directeur de l’institution sa ligne de conduite. Ligne que la noble Nafi Ngom Keïta a suivi. Que dis tu de l’actuelle directrice qui bafoue les meme textes en suivant macky le né-buleux?
Quand on mène des investigations au sein d’une institution aussi sensible dont on est employé, on est astreint à des règles de discrétion et de déontologie auxquelles nul manquement ne devrait être toléré. La directrice a agi comme il se devait en pareilles circonstances pour refréner ce qui pourrait constituer une gangrène compromettant la vie de l’organisation pérenne