[Video] Le Grand Rendez Vous du vendredi 22 Novembre 2013

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Le Grand Rendez Vous du vendredi 22 Novembre 2013

6 Commentaires

  1. Le Prophète (PSL) était un illettré ; Dieu l’avait choisi comme tel pour en faire un Signe divin, donner plus de crédit à sa mission, en montrant ainsi que son message ne pouvait être qu’une révélation divine. Et il peut en être de même pour toute autre mission, après lui (dans l’Islam) – oui, la coutume de Dieu est immuable ; ainsi, Dieu handicape toujours ses messagers, mais leur donne toujours un don (un plus) qui atteste indéniablement de la véracité de leurs mission. Abdou Aziz Dabagh (l’homonyme de Serigne Abou Aziz SY Malick) ne maîtrisait que quelques sourates du Coran, mais en avait un entendement qui étonnait tous les oulémas de sa génération – au point que de grands oulémas finirent par devenir ses disciples. Oui, Dieu fait ce qu’Il veut et choisit qui Il veut pour faire passer son message – Il est l’Omniscient, l’Omnipotent et le Maître de la grâce infinie. Certes, il est important de lire correctement le Coran, mais la maîtrise de La langue arabe n’est pas obligatoire pour une mission, en cette ‘‘fin des temps’’ (akhirou zamân), s’adressant, entre autre, aux ‘’gens du Livre (les chrétiens et ceux qui pratiquent le Judaïsme) (Cor. 98 : 1 – La Preuve décisive – Al-Bayyinah). Oui, Dieu n’envoie de messagers pour tirer les gens des ténèbres vers la lumière que dans leurs propres langues (Cor. 14 : 4 – Abraham – Ibrahim) ; c’est ainsi que le Prophète (PSL) qui a été envoyé à toute l’humanité (Cor. 34 : 28 – Saba’) doit nécessairement avoir des relais dans toutes les langues pour faire passer son message à chaque peuple (chinois, japonais, russe, français, perse, wolof, etc.) dans sa langue. Oui, toutes les langues sont des langues de l’Islam. Un ouléma doit nécessairement maîtriser l’Arabe, pour accéder à certaines documentations et approfondir ses connaissances ; mais il ne peut accéder à la vraie connaissance qu’après un parcours initiatique – ‘’Dieu enseigne ceux qui Le craignent’’ (Cor. 2 : 282 – La Vache – Al-Baqarah). Par contre, un missionnaire ne suit que l’agenda d’Allah et peut même transgresser la Charia sur Son Ordre (Cor. 18 : 60-82 – La Caverne – Al-Kahf). Ce qui est plus déterminant, c’est de pouvoir légitimer sa mission, en la conformant à tous points de vue au Coran et au Hadith. Et incontestablement, on ne peut légitimer aucune mission dans l’Islam, après le rappel à Dieu du Prophète (PSL), en dehors de celle de Jésus fils de Marie revenu (Cor. 43 : 57-61 – L’Ornement – Az-Zukhruf) – et donc celle du Mahdi, son disciple et confirmateur ! Une vérité certaine !!!

  2. C’est malheureux que les pays africains cessent de faire confiance à la CPI (avocat)

    Par Aps | APS | Samedi 23 novembre, 2013 19:34

    L’avocat néerlandais et spécialiste du droit pénal international, Göran Sluiter, trouve malheureux que les pays africains cessent de faire confiance à la Cour pénale internationale (CPI). »C’est très malheureux, si les Etats africains ne font plus confiance à la CPI. La plupart des cas référés à la CPI sont soumis par les Etats africains », a dit Me Sluiter lors d’un séminaire sur « la Cour pénale internationale, l’Afrique et le Sénégal ».

    « Il est important de voir la Cour comme une instance qui assiste les victimes de crimes les plus sévères », a-t-il affirmé lors de cette rencontre organisée par l’ambassade des Pays-Bas au Sénégal. Pieter Jan Kleiweg De Zwaan, l’ambassadeur des Pays-Bas au Sénégal, a loué l’existence de cette juridiction. « La CPI est une bonne chose. La Cour pénale internationale protège ceux dont les droits humains ont été violés », a-t-il estimé.

    D’autres participants du séminaire ont déploré la méfiance de nombreux pays africains envers cette juridiction. La CPI, mise en place en juillet 2002, est une juridiction permanente des Nations unies chargée de juger les individus – et non les États – ayant commis un génocide, des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité ou des crimes d’agression. Elle est souvent accusée de ne cibler que des hommes politiques africains. Le président du Soudan, Omar Hassan El Béchir, est depuis quelques années l’objet d’un mandat d’arrêt international de la CPI, pour des crimes de guerre et de génocide qu’il est présumé avoir commis au Darfour.

    Intervenant mercredi à La Haye (Pays-Bas), où la Cour a son siège, le ministre sénégalais de la Justice, Sidiki Kaba, « a exhorté la CPI à entretenir un dialogue constructif et ouvert avec l’Union africaine, pour examiner les requêtes que cette dernière a formulées » contre le président et le vice-président kényans, Uhuru Kenyatta et William Ruto. M. Kaba a exprimé ce point de vue du gouvernement sénégalais dans un communiqué reçu lundi à l’APS. A la demande du Kenya, un sommet extraordinaire de l’Union africaine s’est tenu le 12 octobre dernier à Addis-Abeba (Éthiopie) sur les relations entre la CPI et l’Afrique. L’UA a demandé à la Cour de suspendre les poursuites visant les deux dirigeants kényans. Ils mis en cause pour crimes contre l’humanité.

    La CPI estime qu’ils auraient commis ces crimes lors des violences électorales qui avaient fait un millier de morts au Kenya, en 2007. Le Conseil de sécurité des Nations unies a rejeté le 15 novembre une demande de l’Union africaine, qui réclamait la suspension pour un an des poursuites contre les dirigeants kényans. Sept des 15 pays membres permanents du Conseil de sécurité ont voté la résolution, comme le souhaitait l’Union africaine. Les autres membres permanents, au nombre de huit, se sont abstenus. La résolution avait besoin de neuf votes favorables au moins pour être adoptée.

    Rien d’étonnant, étant donné que ce sont ces mêmes peuples qui restèrent sans défense au 18ème siècle face à des étrangers qui les réduisirent en esclaves avant de les coloniser. La Syrie dont le Président tue des dizaines de milliers de ses concitoyens et malgré cela aucun gouvernement Européen, encore moins l’ONU et la CPI ne parlent de l’éventualité de traduire ASSAD et ses Lieutenants devant le tribunal international qu’est la CPI! Pendant ce temps, il y a des Africains qui prétendent défendre les droits de l’homme, qui aident de jeunes militants Belges à humilier un ancien Chef d’Etat Africain. Serions-nous les seuls peuples dont on ose humilier leurs anciens Chefs ? Le Président ASSAD peut il tuer des milliers de Syriens sans en subir les conséquences ? Le Président Hissène Habré serait il un génocidaire ? Non !

  3. Tres belle emission qui avait bien debute, mais il faut dire que depuis un mois la qualite des debats et le niveau des invites est en nette baisse. Ce ne sont pourtant pas les possibilites qui manquent:
    – Aboubacry Moussa Lam, Egyptologue qui ecrit Francais & Pular
    – Marie Angelique Savane
    – El Hadj Ibrahima Sall, ancien ministre du plan, auteur de plusieurs ouvrages (le souci du monde, l’Afrique repond a Sarkozy)
    – Abdourahmane Sarr, ancien du FMI qui plaide pour une monnaie locale
    – Tidiane Ndiaye (genocide voile, le jaune & le noir), pendant un sejour a Dkr
    – Felwine Sarr (Dahij, Meditations Africaines)
    – Le cancerologue Abdou Aziz Kasse qui se bat contre le tabac
    – Des politiques comme Talla Sylla, Jean Paul Diaz, Ibrahima Fall, Khalifa sall (maire de Dakar) etc.
    Et tant d’autres qui, s’ils sont dispo, peuvent contribuer a eveiller les conscience. C’est vraiment dommage que l’une des rares emissions educatives donne l’impression de tomber dans la facilite.

    Merci quand meme et encouragements

  4. et peut même transgresser la Charia sur Son Ordre, c’est grave ca mr ndiaye, le prophete a bien dit sallalahou alayhi wa sallam ( meme si moussa etait vivant il serait oblige de me suivre ) donc le cas khadir et les gens de kahf est une exception parceque Moussa alayhissalam n’etait pas envoye a toute l’humanite alors que notre Prophete donc n’essoyons pas d’ouvrir une porte qui nous menera a la debauche comme on en voit un peu au senegal.

    • Dieu ne raconte pas un récit gratuitement ; il y’a toujours un enseignement sous-jascent pour les doués d’intelligence. Il avait donné à Khadir cette science ésotérique lui permettant de  »transgresser » sur son ordre (inspiration divine) ; de nos jours, cette même science (aqiqa) a été gratifiée à certains  »Hommes de Dieu » ; et c’est dire toute la difficulté de juger un homme présumé Saint ; la sagesse recommande de ne pas les suivre, si on a des appréhensions, mais de ne jamais les dénigrer pour ne pas s’attirer inutilement des nuisances. Oui, la mansuétude doit être de rigueur à leurs égards !!!

  5. Cette très noble initiative de Monsieur GORA HAÏDARA est à saluer, à magnifier et surtout à soutenir !!!
    Car le Sénégal, depuis plus d’une décennie, marche dangereusement sur la tête.
    Tiakhane gouddi ak beutcheuk, Fo gouddi ak beutcheuk !!!
    Ce pays ne ressemble nullement à un pays à majorité musulmane et il est plus que temps d’agir !!!
    Je suis convaincu, et ma conviction ne date pas d’aujourd’hui, que ce pays ne se fera jamais sans une meilleure prise en compte des saines directives et des sains préceptes de l’Islam.
    Ce qui passe nécessairement par un apprentissage à grande échelle, par toutes et tous, surtout les petits enfants mais aussi les grandes et grands, du Noble Coran…
    Bravo donc et merci à Monsieur HAÏDARA qui a osé prendre cette noble initiative pendant que beaucoup assistent passivement à la douloureuse dégringolade de l’Islam.

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