[Video] Quand Macky Sall inaugure les chantiers de Karim Wade

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08 Août 2011,Le Ministre d’état Karim WADE en visite en Casamance pour les chantiers en cours de finition. Le Président Macky SALL est entrain de l’inaugurer ce 20/02/2015. la centrale de Boutoute, l’hôpital de la paix,le pont Emile Badiane etc.

23 Commentaires

  1. babacar le probleme set qu’on est devant un gouvernement qui par sa manque d’ambition cherche a enterrè les realisation de wade par un acharnement qui ne dit pas son nom au lieu de pratiquer la continuitè de l’etat.vue l’inauguration de ces belles realisation de Karim,on devait penser à l’honnorer et non pas le mettre en prison

  2. COOPÉRATION CORÉE DU SUD-SÉNÉGAL: DEUX BATEAUX POUR DÉSENCLAVER LA CASAMANCE
    La Corée du Sud vient d’attribuer au Sénégal une enveloppe de 24 milliards de Fcfa pour la construction de deux bateaux devant aider à désenclaver le Sud du Sénégal et favoriser ainsi son décollage économique. Le projet paraphé, hier, entre Karim Wade et l’ambassadeur de la République de Corée, prévoit aussi la mise en place d’infrastructures portuaires des deux côtés du fleuve Gambie.
    Le Sénégal et la Corée du Sud viennent de signer une convention de financement d’un projet d’infrastructures et d’équipements maritimes (Miep) d’un coût global de près de 30 milliards de Fcfa, dont 24 milliards du Fonds coréen de coopération pour le développement économique (Fcde), une branche d’Eximbank. Le projet vise à contribuer au désenclavement de la Casamance, par conséquent, il favorise le développement de cette partie du pays, tout en renforçant l’intégration sous-régionale, particulièrement avec la Gambie et la Guinée Bissau. Ainsi, pour renforcer la desserte maritime Dakar-Ziguinchor, deux bateaux capables de transporter chacun 200 personnes et 13 camions seront mis en circulation. Il est également prévu la construction d’une gare et d’autres infrastructures maritimes telles que des terminaux, une unité de stockage à froid d’une capacité de 100 tonnes au port de Ziguinchor, etc.
    Le ministre d’Etat, ministre de la coopération internationale, Karim Wade, a qualifié le projet de « porteur d’espoir », lors de la cérémonie de signature de la convention avec son Excellence Kim Hyunk Kuk, ambassadeur de la République de Corée au Sénégal. Selon Karim Wade, la mise en circulation de ces deux bateaux devra aider à mettre fin aux récurrents problèmes que rencontrent les Sénégalais désirant se rendre dans la partie Sud du pays. M. Wade indique qu’il s’agit aussi d’une solution de « substitution » au projet de construction d’un pont sur le fleuve Gambie, même s’il précise : « nous restons, bien entendu, attachés à la construction du pont, fruit d’un partenariat avec la Gambie ; il s’agit d’une solution que nous mettons en œuvre en attendant la construction de ce pont ». L’ambassadeur a, lui aussi, mis l’accent sur le bénéfice qu’en tireront les populations en termes de mobilité mais aussi en termes de réduction de la durée de livraison des marchandises entre Dakar et Ziguinchor. Il espère ainsi que cela participera au décollage économique de cette région. Et plus globalement, l’ensemble des régions de l’intérieur (Kaolack, Fatick, etc.). Karim Wade, qui salue la conjonction d’efforts entre privés sud-coréens et sénégalais pour l’aboutissement du projet, espère une livraison des bateaux dans les meilleurs délais : « les entreprises de constructions navales sud-coréennes chargées de la réalisation des bateaux sont à pied d’œuvre », explique-t-il.
    Il pense que la Corée du Sud, désormais acteur majeur de la mondialisation, grâce à son savoir-faire et à ses ressources humaines de qualité, peut servir d’exemple pour le Sénégal. Pour sa part, le ministre de l’économie maritime, Khouraïchi Thiam, estime que le développement économique du Sénégal (notamment des régions enclavées) est largement tributaire de la performance des services de transport maritime et fluvial.
    La Corée du Sud va financer la construction d’une centrale à charbon d’une capacité de 50 Mw. L’annonce a été faite, hier, par Karim Wade, ministre d’Etat, ministre de la Coopération internationale, des transports aériens, des infrastructures et de l’énergie, en marge de la cérémonie de signature d’une convention de financement d’un projet d’infrastructures et d’équipements maritimes. « La Corée a décidé de nous accompagner pour construire, le plus rapidement possible, une centrale à charbon, et nous sommes actuellement en train de travailler sur les études de faisabilité », déclare-t-il. Selon lui, ce projet de construction de centrale devrait permettre au Sénégal d’accélérer son programme de centrales à charbon, dont le retard lui coûte environ 100 milliards de Fcfa annuellement. Il rappelle que l’objectif de cette centrale n’est pas seulement d’assurer l’approvisionnement du Sénégal en électricité, mais aussi celui de toute la sous-région. A terme, le Sénégal devrait produire 200 Mw pour les autres pays de la sous-région. « Le programme charbon va non seulement nous permettre de sécuriser l’approvisionnement en électricité mais aussi de réduire sensiblement le prix de l’électricité de 50 % », ajoute-t-il. Concernant la situation actuelle, il annonce le retour dans le réseau, aujourd’hui, 50 Mw supplémentaires. Il reste, cependant, « quelques problèmes de distribution » (câbles).
    Le Soleil (30 Septembre 2011)

  3. Se qui meton , ses la mon cocience des senegalai .le probleme est que ni macky ni wade ni abdou ni abdoulaye , se qui fait entan que president ses leur devoir et letat ses la continuite , un jour macky se va et lessera des chose

  4. Des hommes de presse ont vendu leur âme au diable pour mentir sur d’honnêtes gens, taire la vérité sur des vols flagrants, couvrir des crimes. Même quand des Mame Mbaye Niang avouent, ils sont protégés par une certaine presse.
    Voici un autre exemple des manipulations que cette presse fait vivre au peuple sénégalais.

    Il n’y a qu’à voir l’acharnement des gens, postés dans les médias à maintenir la version d’un Mamadou Diop sur qui un camion dragon est passé pour comprendre qu’eux même ont compris que cette thèse ne tient pas. Et l’acharnement à défendre ce mensonge montre leur peur que le peuple sénégalais ne comprenne la vérité.
    J’ai eu à souligner qu’il n’existe aucune vidéo d’un Mamadou Diop près d’un camion dragon.
    J’ai souligné que les camions dragons roulent avec des racleurs (raquettes) devant les roues avant pour repousser tout ce qui tombe devant.
    J’ai souligné la bizarrerie des zooms spéciaux sur Mamadou Diop avant sa mort comme si les cameraman savaient qu’il allait se passer quelque chose. Dans toutes les enquêtes sérieuses, on commence par ceux qui ont rapporté les faits.
    J’ajoute autre chose.
    tinyurl.com/q8bry58
    tinyurl.com/nqkp6jv
    Comparez les deux vidéos. Pour le même jour, à la même marche:
    1/ Mamadou Diop muezzin en pantalon marron, chemise jaune, jaquette blanche.
    2/ Mamadou Diop à terre, en pantalon blanc, jaquette noire et écharpe.
    Vous comprenez que ces gens là postés sur le net ont intérêt à ce que personne ne creuse, que les gens répètent aveuglément ce que les médias ont installé dans les cerveaux.

  5. SUCCESSION ET IMPASSE POLITIQUE : Jeux de couloirs à Paris

    C’est le Paris-Dakar, en version politique. C’est ici que se fera l’arrivée, mais c’est de la capitale française que tous semblent avoir pris le départ. Karim Wade, Macky Sall et Idrissa Seck s’y sont tous signalés récemment. Principaux candidats à l’héritage du Sopi, ils y ont été suivis par Wade en personne. Quels peuvent être les des­sous de ce ballet diplomatique au pays de Sarkozy ? Et pourquoi, après l’avoir relégué au second plan au nom de l’américanophilie de Wade et de dubaÏsation du pays, l’Hexagone suscite-t-il à nouveau autant d’intérêt chez les sopistes ? Éléments de réponse.

    L’opinion de Paris serait-elle si importante sur la vie politique sénégalaise ? A bien décortiquer les récents voyages de person­nalités politiques sénégalaises en Hexagone et les feuilles d’audience du président fran­çais, ces derniers temps, on est tenté de le croire. Karim Wade, Macky SaIl et Idrissa Seck, tous prétendants à l’héritage du Sopi, se sont signalés ces derniers temps dans la capitale française. Suivis par le Pape du Sopi en personne, reçu en audience à l’Elysée le 9 septembre dernier.

    On aura remarqué que les partisans de Karim Wade ont rendu compte de l’au­dience accordée à ce dernier par Nicolas Sarkozy avec des trémolos à la voix. Tout comme le camp de Macky SaIl a bien manœuvré pour donner un cachet officiel à la visite de celui-ci à l’invitation du séna­teur français, Alain Lambert. Enfin, pour boucler la boucle, c’est le président Wade himself qui interrompt ses vacances sur les bords du Lac Léman, en Suisse, pour un rapide aller-retour à Paris. Juste pour ren­contrer Sarko. De quoi croire que Paris est à nouveau un passage obligé pour les prin­cipaux protagonistes à l’héritage politique de Wade.

    Et Wade zappa la France …

    Ce scénario n’était pourtant pas prévisible, tellement Paris semblait en perte d’in­fluence au Sénégal après l’alternance sur­venue en mars 2000. Pour cause d’américa­nophilie du successeur de Diouf, l’Hexagone est en effet vite relégué au second plan au profit des Etats-Unis. De sorte que Paris finira par ne plus avoir la moindre prise sur la nouvelle classe diri­geante, encore moins sur la vie politique sénégalaise.

    Mieux, en raison de ce que certains appel­leront la « diplomatie du dollar », les nou­velles autorités ne s’embarrassent guère de l’amitié séculaire avec la France. Elles recentrent leurs alliances vers les pays du Golfe, plus prompts à lâcher les pétrodol­lars, avec comme conséquence d’éloigner un peu plus Paris de tout ce qui se trame à Dakar.

    Mais pour bien comprendre comment on en est arrivé à ce désamour entre le Sopi et l’ancienne puissance colonisatrice, il faut remonter à la visite de Wade à l’Élysée en juillet 2004. A l’époque, l’intrusion de Paris dans le jeu politique national, à travers le communiqué de l’Elysée sanctionnant l’en­tretien entre Wade et Chirac, n’avait pas été du goût de Dakar. Publié sur le site Internet de l’Elysée le 24 juillet 2004, ce communi­qué, peu amère pour Wade, comprenait quatre paragraphes résumant le contenu des entretiens entre les deux hommes. Mais le dernier de ces paragraphes qui était le plus essentiel. Qu’y lisait-on ? « Après avoir marqué l’appréciation de la communauté internationale à la suite de l’abolition de la peine de mort au Sénégal, le président de la République (NDRL : Jacques Chirac) s’est enquis du sort de M. Madiambal Diagne, directeur du journal « Le Quotidien », en rappelant l’attachement de la France au respect des droits de l’homme et en particu­lier à la liberté d’expression ».

    Cette claque-là était très dure à avaler. Car non seulement, ce fut la première fois qu’un chef d’État sénégalais était traité de la sorte à l’Elysée. Mais, pire, en rendant compte de l’issue de cet entretien dans son édition du 24 juillet 2004, Le Figaro s’était permis de titrer: « Wade tancé à Paris sur la liberté d’expression ».

    Certes, une fois sortie de cette audience, Wade s’était empressé d’annoncer sur le perron de l’Elysée l’abrogation du fameux article 80 qui avait valu à Madiambal son emprisonnement. Mais, il n’en avait pas moins au travers de la gorge les termes tout sauf diplomatiques de ce fameux communi­qué de l’Elysée.

    Le successeur de Diouf attendait sans doute de Paris qu’elle lui démontre tout son sou­tien et lui témoigne de plus d’affection, sinon autant qu’avec les dirigeants du défunt régime socialiste. Hélas, il n’en sera rien. Chirac ne mettra même pas un bémol dans ses relations particulièrement chaleu­reuses avec Diouf, comme il le démontra du reste en pesant de tout son poids dans l’élection de ce dernier à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie.

    Est-ce donc par dépit amoureux vis-à-vis de l’ancienne puissance coloniale ou par option stratégique que Wade et son régime s’étaient détournés de la France ? Pour rap­pel, lorsque Bush était reçu au Sénégal le 7 juillet 2003 avec tous les honneurs dus au président de la première puissance mon­diale, les autorités sénégalaises program­maient dans le même temps l’expulsion de ressortissants français en situation irrégu­lière. Et ce, en réplique aux vols charters initiés par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur. De même, les décisions « suspectes » rendues par la Justice sénéga­laise au profit d’hommes d’affaires sénéga­lais en conflit avec des entreprises ou filia­les françaises (Abdoulaye Dieng contre SDV, Ady Niang contre la SGBS) feront grise mine à Paris. Tout comme la conces­sion du terminal à conteneurs du Port de Dakar à Dubaï Port World au détriment du français Bolloré. Objet de toutes ces repré­sailles au plan économique de la part des libéraux, la France était également restée tout ce temps-là en marge de la vie politi­que sénégalaise. Jusqu’à ce qu’elle ait repris dernièrement la main.

    Les dessous d’un retour au premier plan

    En se rendant récemment à Paris, après que Karim Wade et Macky Sall se soient dépla­cés dans la capitale française dans un inter­valle d’à peine deux semaines, le Président Wade consacre le retour en première ligne de l’Elysée dans la vie politique sénéga­laise. L’a-t-il seulement fait de gaieté de cœur? Rien n’est moins sûr.

    Il semble en effet que c’est plutôt Paris qui a subtilement manœuvré pour reprendre et sa place et la main dans un pays qui com­mençait à échapper complètement à son influence. Et ce en dépit du fait qu’avec pas moins de 250 implantations au plan écono­mique dont la moitié sous forme de filiales de grands groupes et l’autre moitié sous forme de Pme, la France pèse en gros plus de 1000 milliards de chiffres d’affaires. Ce qui représente une contribution substan­tielle en termes de valeur ajoutée au Pib national.

    Peut-être s’est-on donc rendu compte du côté de l’Elysée que ce poids économique de la France au Sénégal était si dispropor­tionné par rapport à son influence politique réelle qu’on s’est avisé de reprendre l’ini­tiative. Et l’on peut remarquer, à ce propos, que c’est aussitôt après avoir élevé le prési­dent de l’Assemblée nationale, Macky Sall, au grade de chevalier de la Légion d’hon­neur française que Paris s’était automati­quement invitée dans le débat politique au Sénégal.

    Manifestement, ce choix sur Macky Sall pour une distinction aussi prestigieuse ne doit rien au hasard. En honorant ce dernier après qu’il eut fini d’être indexé par le camp présidentiel comme un rival de Karim Wade, Paris a-t-elle voulu régler des comptes? Et faire payer à la famille Wade de l’avoir longtemps snobée et d’avoir sérieusement menacé les intérêts français avec ce que certains ont appelé la dubaïsa­tion du pays? Certes, on a toujours dégagé en touche dans les milieux diplomatiques français à Dakar. Seulement, ce choix sur Macky après l’épisode de la convocation de l’Anoci par la commission des finances de l’Assemblée avait tout d’une prise de posi­tion dans la querelle de succession au sein du Pds.

    En tout cas, il avait été prêté au très réseauté homme d’affaires français Vincent Bolloré d’avoir proféré en privé des mena­ces de représailles contre le Conseiller spé­cial du président Karim Wade. Lequel a toujours été considéré, à tort ou à raison, comme le précieux « agent de propagande » des Dubaïotes dans le dossier de conces­sion du terminal à conteneurs. Faut-il donc voir à travers l’adoubement de Macky Sall par la France la revanche du puissant patron de SDV contre le patron de l’Anoci ?

    Il est évident qu’à défaut d’être parrainé officiellement par la France, le président de l’Assemblée et ex-numéro deux du Pds a vu son aura internationale augmenter sensible­ment grâce au précieux coup de pouce de certains milieux français. Au grand dam, bien évidemment, du clan Wade. D’autant que, pour ne rien arranger, les relations entre Wade et certains de ses vieux amis français comme Alain Madelin ne semblent plus tout à fait au beau fixe. En témoigne la récente désapprobation de celui-ci quant à une succession de son ami de Président par son fils. Alors, après avoir délaissé la France au profit des Etats-Unis et des monarchies du Golfe, les Wade, père et fils se seraient-ils enfin aperçu qu’ils avaient perdu beaucoup de terrain en Hexagone ? Ceci pourrait être l’explication en tout cas de l’opération séduction lancée à présent en direction de l’Elysée. D’autant que son actuel locataire, Nicolas Sarkozy, tout comme l’homme d’affaires Vincent Bolloré, pourrait lui aussi ne pas avoir digéré certaines relations d’affaires du fils du Président. Karim Wade a toujours tra­vaillé en effet en parfaite intelligence avec l’homme d’affaires marocain Richard Attias. Celui-là même qui a réussi la prouesse d’avoir supplanté Sarkozy dans le cœur de l’ex-Première Dame, Cécilia. Sans doute le président français ne pouvait-il pas pardonner facilement à l’ Anoci et à son patron d’avoir en partie enrichi celui qui lui a finalement ravi son ex-épouse. L’audience accordée par Sarkozy à Karim Wade le 26 août dernier, puis celle entre le locataire de l’Elysée et Wade père, le 9 sep­tembre ont-elles réellement permis de dissi­per tous ces ressentiments? C’est là tout l’enjeu de ce regain d’intérêt envers l’Elysée. Pourvu que Paris soit à présent bien disposée à jouer le jeu après avoir avalé bien des couleuvres

    tinyurl.com/nopyst2

  6. CE QUI EST SÛRE C´EST QU´IL Y A UNE GROSSE INGRATITUDE ET MÉCHANETÉ GRATUITE ENVERS KARIM WADE, MAIS CHACUN SON TOUR CHEZ LE COIFFEUR; SAUF LE POUVOIR DE DIEU EST ÉTERNLE LE POUVOIR SUR TERRE EST ÉPHÉMÉRE; DONC MACKY SALL ET SA BANDE ILS NE SERONT AU POUVOIR POUR UN TEMPS SEULEMENT NUL EST ÉTERNEL MAIS C´EST SÛRE ET CERTAIN QUE CES GENS LÁ SON INGRATS MÉCHANTS HYPOCRITES ET MENTEURS – INGRATS INGRATS ET INGRATS MILLES FOIS INGRATS – DIEU ES TLÁ ET IL EST GRAND –

    • Est ce que la communication de Macky Sall ose, sans honte parler de continuité de l’état ? Où est ce qu’elle va ranger la diabolisation pour le faire ?
      Suppression du décret de la taxation des appels entrant, en faisant perdre au Sénégal 73 milliards par an et en en faisant gagner la France autant, Macky s’est justifié en accusant Wade d’un « nationalisme mal placé. »
      Peut-il sans honte inaugurer les réalisations de ce dernier sans bien replacer son nationalisme ? Vous savez quoi, je soupçonne que la médiatisation forcenée (l’abêtissement, pour être exact) commence à sentir ses échecs, alors, elle s’accroche à la continuité de l’état. Quel cynisme ! Si la presse de Macky avait réussi son coup, aucun sénégalais n’aurait eu la chance de se rappeler que c’était des réalisations de Wade. Mais maintenant que la presse de Macky n’a pas réussi à l’effacer, elle évoque la continuité de l’état.
      Hilary Clinton disait: “Il y a une guerre de l’information et nous sommes en train de la perdre”. Je ne dis pas que la presse de Macky perd la guerre médiatique qu’elle a déclenché, ce qui serait d’ailleurs normal vu qu’elle n’est armée et cuirassée que de mensonges. Mais je dis qu’elle commence à mesurer l’ampleur de la tâche qui l’attend, au vu de la ligne qu’elle a choisi.

  7. Nous sommes tous d’accord que c’est le principe de la continuité de l’Etat, mais dans les pays démocratiques, les nouveaux arrivants soulignent que c’est pâr la volonté des vaincus que telle et telle autre réalisation ont été pu être menées à bien pour être inaugurées. Malheureusement, le Président fait comme si tout était de son imagination, sachant que la majorité des Sénégalais est atteinte d’amnésie maladive depuis toujours ! Essayer de savoir ce que votre ami(e) ou un membre de votre famille a manger la veille à midi, beaucoup ne vous le diraient pas !

  8. Tentative de liquidation Karim et Khalifa : Ce sondage qui a inquiété le Palais : Karim 1e ( 27,9%), Khalifa 2e(20,3%), Macky 3e(17,3%), Idy 14% Balde9%

    Le Président Macky Sall est dans une logique de liquidation de ses principaux adversaires à la prochaine présidentielle. Sa première cible demeure Karim Wade son prisonnier politique. S’en suit Khalifa Sall qui a vu ses projets bloqués par le Gouvernement.

    Qu’est ce qui s’est passé ? Il y a quelques semaines, un sondage a été réalisé par le Palais. Les résultats de ces enquêtes ont été préoccupants pour le locataire du Palais. Ils confortent le sondage du Cabinet « Africom » publié il y a 09 mois . Dans le classement, c’est Karim Wade qui s’est classé en tête suivi de Khalifa Sall et de Macky Sall qui s’est placé à la 3eme position.

    Le Président Macky Sall est très préoccupé par ce sondage. C’est ce qui explique son activisme ces derniers temps. A Touba et à Ziguinchor, il inaugure des chantiers réalisés par les libéraux Ce sondage compromettant pour son second mandat est l’unique motivation de la future condamnation de Karim Wade. Après l’implosion de l’Afp, Khalifa Sall sera sa prochaine cible. Liquider Karim Wade et Khalifa Sall est sa seule préoccupation

  9. bonjour monsieur l administrateur du site xalimasn.com , sil vous plait cessez d’être ridicule, ces chantiers sont pour le senegal et les senegalais ou bien pour monsieur macky sall et monsieur karim wade ? arrêtons ces nullités et travaillons pour notre cher pays , meme les gens dites gnac ( les étrangers venant d autres pays africains) l ont compris et se foutent éperdument de nous et tout ceci pour quoi et a cause de qui? vous les journalistes , s il vous plait que macky inaugure ces chantiers ou pas qu un autre l aurais fait il l aurait fait pour le senegal alors foutez nous la paix avec vos articles a la con.
    cordialement

    • Est ce que la communication de Macky Sall ose, sans honte parler de continuité de l’état ? Où est ce qu’elle va ranger la diabolisation pour le faire ?
      Suppression du décret de la taxation des appels entrant, en faisant perdre au Sénégal 73 milliards par an et en en faisant gagner la France autant, Macky s’est justifié en accusant Wade d’un « nationalisme mal placé. »
      Peut-il sans honte inaugurer les réalisations de ce dernier sans bien replacer son nationalisme ? Vous savez quoi, je soupçonne que la médiatisation forcenée (l’abêtissement, pour être exact) commence à sentir ses échecs, alors, elle s’accroche à la continuité de l’état. Quel cynisme ! Si la presse de Macky avait réussi son coup, aucun sénégalais n’aurait eu la chance de se rappeler que c’était des réalisations de Wade. Mais maintenant que la presse de Macky n’a pas réussi à l’effacer, elle évoque la continuité de l’état.
      Hilary Clinton disait: “Il y a une guerre de l’information et nous sommes en train de la perdre”. Je ne dis pas que la presse de Macky perd la guerre médiatique qu’elle a déclenché, ce qui serait d’ailleurs normal vu qu’elle n’est armée et cuirassée que de mensonges. Mais je dis qu’elle commence à mesurer l’ampleur de la tâche qui l’attend, au vu de la ligne qu’elle a choisi.

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