Abdoul Mbaye, le Premier Ministre face à Alassane Samba Diop

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[Vidéo] Questions directes: Abdoul Mbaye, le Premier Ministre face à Alassane Samba Diop

7 Commentaires

  1. UN PREMIER MINISTRE A LA DIMENSION
    DE NIVEAU INTERNATIONAL

    Nous autres Sénégalais avons cette fâcheuse habitude à jeter des pierres à tous les hommes politiques, quoi qu’ils fassent, bon, moins bon. Quand on a un premier Ministre si compétent, qui ne peut faire sa cuisine qu’avec ce dont on dispose, on doit l’encourager! On peut l’aimer ou pas, mais Monsieur Abdoul M’baye est de ceux qui pourrait être Premier Ministre, par son niveau dans n’importe quel pays du monde, ce qui n’est pas le cas de nous tous qui ne faisons que commenter!
    Quel pays au monde peut se lever et créer des centaines de milliers d’emplois en trois ans ? Aucun, à ma connaissance et le Sénégal ne peut faire exception parce qu’il n’en a pas les moyens. C’est déjà bien que le Gouvernement décide d’embaucher quelques cinq ou six milles jeunes pour quelques emplois qui sont de son ressort et il appartient maintenant au Privé de jouer son rôle en fonction de ses besoins, mais l’Etat, en ce qui le concerne, veille à l’environnement des affaires.
    Il n’y a que sur deux points que j’ai tiqué, le premier c’est au sujet de la farine. Quand le Premier Ministre a évoqué le problème du monopole des meuniers sur le blé, jamais il n’a dit que le Sénégal avait la possibilité en moins de trois ans d’être autosuffisant en blé dur et tendre, je le dis depuis quinze ans, suite à un séjour de dix jours dans un pays de l’Est. Il nous suffirait de former en moins de trois mois des centaines de jeunes motivés pour un vaste programme dans la vallée du fleuve et même plus près, il suffit d’avoir la volonté politique. On dirait que des gens tapis dans les allées du pouvoir faisaient tout pour entraver nos gouvernants afin de les empêcher de voir clair sur le plan des programmes Agricoles depuis le Président Wade jusqu’à Macky Sall.
    Les Européens exportateurs et leurs représentants en Afrique Sub-Saharienne ne sont pas des philanthropes, ils savent que si quelques pays d’Afrique de l’Ouest se mettaient à penser leur autosuffisance en blé, s’en seraient fini de leur bonnes affaires dont ils ont le monopole depuis plus de 100 ans! C’est à nous de savoir cela, et de passer outre leurs conseils qui ne feraient que nous retarder encore alors que, dès ce mois de juillet, nous pourrions faire l’expériences que notre pays peut produire au moins le tiers de nos besoins dans ces deux spéculations qui entrent dans la fabrication de pâtes alimentaires et du pain que nous consommons.
    Le deuxième point qui m’a fait tiquer est relatif à la problématique des Talibés ou bien ceux qu’on appelle communément  » ENFANTS DES RUES » dont tout le monde parle depuis ce drame qui a fait le tour du monde avec ces 9 ou 16 enfants carbonisés dans les flammes à la Médina, à cause de l’incurie de prétendus maîtres coranique, comme si les peuples nègres d’Afrique noire étaient les seuls à faire souffrir leur enfants pour plaire à un Dieu miséricorde qui n’en demande pas tant ! J’attendais que Monsieur le Premier Ministre déclarât officiellement que le Sénégal allait faire comme la Gambie, c’est à dire veiller scrupuleusement à ce qu’aucun enfant ne mendie plus dans les rues du Sénégal et que les enfants et « maîtres » venus de Guinée Conakry, de Bissau, de la Gambie et du Mali allaient tous être aidés pour qu’ils rejoignent leurs pays dans des délais très brefs, et cela n’a pas été précisé.
    Dans l’ensemble, je fais totalement confiance à ce Monsieur qui n’est ni un politique ni un harangueur de foule attitré, mais un très bon technocrate, comme on en voit dans beaucoup de pays plus développés que le nôtre. Je vous encourage, Monsieur, et vous souhaite plein de succès qui sera le nôtre à tous !

  2. @@@@@Un Passant: Non, ils ne sont pas nuls, ils ont choisi la facilité, parce que travailler, faire des recherches sur tous les sujets qui, normalement devraient être maîtrisés par un vrai journaliste comme on en voit dans beaucoup de pays, demandent du temps et de l’amour pour ce beau métier, mais, hélas…..!
    A voir nos journalistes dont certains se prennent pour des stars, on est même tenté de se poser la question de savoir s’il est vraiment nécessaire de faire des études de journalismes dans notre pays!
    A mon avis, tout Sénégalais qui aime la politique, la suit et maîtrise tant bien que mal la langue de Molière pourrait être un bon journaliste au Sénégal.
    C’est ce qui a d’ailleurs motivé notre « ami » Madiambal et tant d’autres qui se sont dit, à un moment donné : » Ceux que j’entends, lis dans nos médias n’ont rien de plus que moi, alors je me tette dans ce métier »!
    J’avoue qu’il a eu raison, ceux qui sont sortis des écoles de journalisme n’ont rien de plus que Madiambal
    . Au contraire, non seulement il fait le plus souvent du bon « boulot » de journaliste, mais, mieux il a créé son groupe.
    Vous voyez, cher Passant, nos journalistes doivent savoir ce qu’est le journalisme, d’Abord!
    Je profite de cette occasion pour dire à Pape N’gagne N’diaye, que ses disques sont rayés, il n’y a pas que le politique politicienne dans la vie d’une Nation, qu’il cesse de nous parler de la défaite des Libéraux, des combinazziones politiques à n’en plus finir et qu’il n’en consacre que cinq minutes. Qu’il nous parle de social, d’économie, d’Agriculture etc. avec ses invités mais pas 100% combinazzionne !

  3. AU SENEGAL HOPITAL ABASS NDAO
    Depuis un an l’Hôpital Abass NDAO dirigé par le Dr Youssouph NDIAYE ne fonctionne pas, par une mauvaise gestion des ressources financières disponibles. A sa décharge le Maire de Dakar PCA du centre hospitalier Abass NDAO, depuis le Conseil d’Administration de novembre 2011, avait demandé à la Direction de l’hôpital, d’exprimer ses besoins en équipements médicaux rentables, pour les acheter sur la subvention de deux cent millions (200.000.000) de l’année 2012. Chaque mois l’Hôpital dépense près de 113.000.000 francs uniquement pour les salaires, donc que représente 200 millions ? Le personnel souhaite que cette somme entre dans le cadre d’investissement en matériels médicaux rentables. Le Directeur qui est incompétent irrespectueux de la hiérarchie et hors loi, n’a rien fait à ce sujet, il passe tout son temps à des querelles, règlements de compte, mensonges, des conflits inutiles avec ses collaborateurs directs.
    Dans les ondes de sud FM le vendredi 11.11.2013, le Chef du Service des Soins Infirmiers (Arona DIOP infirmier d’Etat) donc la nomination est illégale (voir la loi 98-08 du 02.03.1998 réforme hospitalière ci-dessous mentionnée), a donné de fausse information par rapport à la subvention de 2012 et sur la réalité du fonctionnement de l’Hôpital. C’est lui qui dirige l’hôpital, il est logé, nourri, blanchi, gérant des mouvements et du carburant des trois ambulances. Toute sa famille travaille à l’hôpital, ses vœux et désirs sont exécutés à la lettre par le Directeur Youssouph ND IAYE.
    Le principal problème de l’Hôpital se trouve à la gestion et aux priorités de dépenses.

    NOMINATION du Chef du service des soins infirmiers loi 98-08 du 02 mars 1998
    Article 32 : Il est crée dans chaque établissement un service de soins infirmiers placé sous la responsabilité d’un
    technicien supérieur de santé ou d’un cadre infirmier nommé par le Directeur. Il est membre de l’équipe de direction. Il est responsable de l’organisation générale des soins infirmiers, participe à la recherche, à évaluation, à la mise en place de la politique de formation. Il est chargé de l’élaboration du volet « soins infirmiers » du projet d’établissement.

    Où se trouve le directeur, pourquoi il fuit les médias depuis décembre 2011 ?
    C’est parce qu’il n’a pas la vérité cette fois.
    Monsieur le Maire, président du conseil d’administration prenait vos responsabilités en proposant au Ministre de la santé et de l’action sociale le remplacement de ce directeur. Le personnel du CHAN n’attend que cette décision pour reprendre le travail, il ne veut plus de Youssouph NDIAYE à la tête de l’Hôpital.
    Où se trouve la dignité, l’honneur, un directeur rejeté, vomis par son personnel devait rendre le tablier. Mais malheureusement ce monsieur a perdu ses valeurs de noblesse. L’hôpital Abass Ndao est actuellement fermé.
    Deux mois sans salaires, mesurez les préjudices, les conséquences subis par le personnel de Abass Ndao , causés par Youssouph ndiaye. Il rendra compte à Dieu comment il a dirigé cet hôpital.

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